Nos Engagements en faveur des Personnes en Situation de Handicap…

Suite à notre participation à la conférence de presse de l’association montpelliéraine « Hactions » vendredi soir, voici nos engagements pour un bien vivre ensemble dans la ville pour les personnes en situations de handicap :

√  Favoriser l’accès à la vie publique et politique des personnes en situation de handicap et participer à leur redonner une image (re)valorisante ;

√  Faire respecter le calendrier d’application de la loi (2015) sur la mise en accessibilité du cadre bâti, de la voirie et des transports dépendant de la politique municipale et intercommunale et l’application de la loi de 2005 sur l’accessibilité des établissements accueillant du public (commerces, lieux culturels, centres sportifs, de loisirs…) ;

√  Faire des questions d’accessibilité et de mobilité des personnes en situation de handicap une grande cause municipale et évaluer et corriger toutes les carences en la matière (accès aux bâtiments communaux, à la voirie…) ;

√ Permettre l’accès au logement des personnes en situation de handicap et leur donner la priorité absolue en matière d’attribution de logements sociaux ;

√  Rendre plus performante la commission communale d’accessibilité et nommer un référent « Handicaps » au sein de la municipalité ;

√  Rendre accessibles aux plus jeunes en situation de handicap, toutes les activités extra ou périscolaires que la ville a en charge ou celles qu’elle subventionne en impliquant les opérateurs publics et privés ;

√  Respecter à la ville et à l’intercommunalité l’obligation d’emploi de personnes en situation de handicap et inciter les entreprises à en faire de même ;

√ Apporter toute notre attention par des réponses concrètes aux difficultés de la vie quotidienne auxquelles sont confrontées les personnes en situation de handicap ;

√ Établir la gratuité des transports publics collectifs et du stationnement pour toutes les personnes en situation de handicap pour plusieurs raisons : tout d’abord d’ordre financier au regard des revenus souvent moindres du public concerné, de non accessibilité des bornes de paiement, d’un déplacement pour l’acte de paiement aller-retour supplémentaire anxiogène et des temps de stationnement proportionnellement plus long donc plus coûteux.