Le Délire de « super Eurorégion » de Mme Delga joue contre la France et les Intérêts de nos Compatriotes

Le projet lunaire de « macro-région méditerranéenne » exposé cette semaine à Barcelone par la présidente de l’exécutif régional d’Occitanie, Carole Delga, va directement à l’encontre des intérêts de nos compatriotes et est ouvertement antinational en plus d’être dangereux.

D’inspiration ouvertement euro-mondialiste, cette initiative défendue par la présidente socialiste remet sérieusement en cause le peu qui nous reste de souveraineté nationale, notre identité, de même que nos intérêts économiques et commerciaux (ainsi nos pêcheurs seraient impitoyablement sacrifiés).

Elle menace de facto notre mode de vie et notre sécurité, puisque cela fournirait un appel d’air sans précédent pour une nouvelle vague migratoire qui bousculerait les équilibres géopolitiques déjà bien mis à mal depuis plusieurs décennies par les politiques de droite comme de gauche.

Plutôt que de se lancer dans de telles lubies, afin de satisfaire un ego surdimensionné, la présidente de l’Occitanie ferait mieux de se mettre au travail afin de trouver des solutions viables pour améliorer le quotidien de tous nos compatriotes en région qui sont de plus en plus nombreux à souffrir du chômage, de la paupérisation, de l’écroulement de leur pouvoir d’achat, et de la désertification progressive d’une partie du territoire (médecins, services de proximité…).

L’heure n’est pas aux délires narcissiques d’un exécutif hors sol : l’alternance que nous proposons est plus qu’une nécessité, c’est devenu une urgence !

[ Communiqué de presse ] Dix Millions de Pauvres en France, ce N’est pas une Priorité pour Madame Borne !

Dix millions de pauvres en France, ce n’est pas une priorité pour Madame Borne

Ce mardi 25 janvier, le Parlement Européen recevait la Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion Elisabeth Borne, venue présenter les priorités de la Présidence française de l’UE devant la commission de l’Emploi et des Affaires sociales.

Cette dernière a méthodiquement esquivé les questions qui lui ont été posées par les députés du Rassemblement National sur des enjeux cruciaux pour le peuple français :

– le travail détaché ;

– la détérioration des conditions de travail et des salaires ;

– la perte de pouvoir d’achat (électricité, carburant, gaz, produits de première nécessité…).

Alors que les politiques européennes ont engendré en France 6,5 millions de chômeurs et 10 millions de pauvres, les Français sont légitimes à demander des comptes : comment l’Union européenne utilise-t-elle leur argent ? (1)

L’Europe, maison commune millénaire, c’est plus et c’est mieux qu’un simple marché centralisé ouvert aux trafics et aux migrations.
Les élus européens du Rassemblement National s’engagent à soutenir la restauration d’ un État Stratège qui aura à cœur de défendre les intérêts des travailleurs français et leur pouvoir d’achat

(1)    : La France est le deuxième contributeur net de l’Union européenne

[ Communiqué de France Jamet ] Pêche en Occitanie : C’est un Métier Indispensable que L’on Assassine !

Pêche en Occitanie : c’est un métier indispensable que l’on assassine !

La baisse continue des jours de pêche autorisés en Méditerranée combinée à l’envolée dramatique des prix des carburants signent l’agonie de la flotte chalutière d’Occitanie et des 2 500 emplois qui en dépendent. Certains navires n’ont pas d’autres choix que de rester à quai jusqu’à 2022 parce que leur activité n’est plus rentable ; d’autres suivent le chemin de la casse.

En trois ans, le nombre de jours de pêche autorisés est passé de 220 à 183. Avec le plan West Med décidé par l’Union européenne, en 2022, il est prévu de le diminuer encore jusqu’à 160 jours, passant en dessous du seuil de rentabilité. Parallèlement, en quelques mois seulement, le prix du gasoil a doublé pour atteindre 0,75 € le litre. Ajoutons, à toutes ces difficultés, l’imposition des éoliennes offshore en Méditerranée qui remettent en cause les zones de pêche.

Il est donc impossible pour les marins pêcheurs d’embarquer dans des conditions dignes.

Parce qu’il y a urgence à agir, le Gouvernement français doit arrêter le suivisme aveugle des directives de l’Union européenne, qui a juré la mort de la pêche locale pour privilégier la grande pêche industrielle en multipliant des accords internationaux écologiquement peu regardants, notamment en Afrique. Il faut enfin user du levier fiscal pour compenser la hausse du prix de l’énergie par la baisse des taxes.

Seule Marine Le Pen aura le courage d’entreprendre ces réformes pour sauver la pêche française.

[ Communiqué de France Jamet ] À Sète, un Technocrate Bruxellois nargue les Pêcheurs Français : honte à lui !

En villégiature estivale à Sète, le 2 septembre, le commissaire européen à l’Environnement, aux Océans et à la Pêche, Virginijus Sinkevicius, est venu « s’assurer que les pêcheurs puissent poursuivre leur activité, même avec moins de jours sur l’eau »…

Peut-on faire encore plus hors sol ? C’est à croire que Virginijus Sinkevicius a le goût de la provocation, alors que le plan européen “West Med” menace de bientôt réduire à 140 le nombre maximal de jours de sorties en mer autorisés pour les pêcheurs en Méditerranée, bien en dessous de leur seuil de rentabilité de 177 jours de sortie en mer par an.

La raréfaction du merlu prétextée par Bruxelles ne représente que 7% des prises des pêcheurs. Elle est la conséquence d’une pollution des eaux dont les pêcheurs ne sont pas responsables. Les pêcheurs continuent  d’être traités comme des délinquants, alors que l’existence de la filière n’a jamais été aussi menacée et qu’ils sont devenus une variable d’ajustement des technocrates de Bruxelles.

Nos pêcheurs, fiers de leur métier noble et ancestral, voudraient le faire perdurer afin de pouvoir contribuer à garantir la pérennité de la filière et celle de notre souveraineté alimentaire.

Depuis des décennies, Bruxelles par sa politique commune de la pêche s’est attaché à boucher toutes leurs perspectives d’évolution, alors même que nos pêcheurs respectent les normes environnementales les plus strictes au monde et qu’ils ne cessent de devoir s’adapter à de nouveaux règlements toujours plus exigeants.

Cette politique est d’autant plus injuste que l’Union européenne continue de signer des accords de libre-échange qui font la part belle à une surpêche industrielle dont les conditions ne correspondent nullement à nos normes sanitaires et environnementales.

Nous ne pouvons plus tolérer que la pêche française soit la proie du cynisme bruxellois. En 2022, avec Marine Le Pen, nous donnerons la priorité à la défense des intérêts de nos pêcheurs et de notre filière française.