Samedi 12 septembre, Julien Sanchez, maire de Beaucaire, s’est rendu à la Maison de la Chimie, répondant à la convocation de Bernard Cazeneuve et Manuel Valls aux 36.000 maires de France.
Ils furent environ 600 à répondre à cet appel afin d’exposer leur slogan : « Notre commune va accueillir des réfugiés »
Lorsque Julien Sanchez s’est levé pour exposer la position de tous ceux qui refusent cette nouvelle vague migratoire imposée par l’Union Européenne, le Préfet, M. Pierre de Bousquet de Florian, censé incarner la prédominance de l’Etat, est sorti de sa fonction pour entrer dans son « rôle« , celui du sectarisme et de l’antidémocratie.
Comme le dit Robert Ménard : « La scène en dit long à la fois sur sa neutralité politique [celle de Pierre de Bousquet de Florian] mais aussi, tout simplement, sur ce qu’il est. À la lointaine époque où la noblesse régnait sur la France, on eût dit : voilà un geste déshonorant ! Aujourd’hui, dans la carrière d’un haut et puissant fonctionnaire, c’est, sans doute, une bonne note de plus… »
Le préfet qui tire le bras de Julien Sanchez, le bouscule et tente de lui arracher son discours…. C’est le Préfet du Languedoc-Roussillon, Monsieur Bousquet, représentant de l’Etat (?)