Monsieur Domergue va solliciter une « mise en disponibilité pour les 3 mois de campagne » auprès du Conseil d’Administration de l’ICM (Institut Régional du Cancer), composé « aussi », rappelons-le, de représentants de l’Etat et notamment d’un Préfet qui le préside et dont la voix est prépondérante.
Il semble surtout que Monsieur Domergue ait du mal à s’éloigner de la direction de l’ICM-Val d’Aurelle. Celui qui se vante de ses qualités de gestionnaire fait preuve ainsi d’un esprit pusillanime qui peine à prendre des décisions et fait apparaître aussi que ses intérêts semblent prendre le pas sur l’intérêt général.
Le candidat de l’UMP sollicite indirectement la bienveillance du Parti gouvernemental afin de lui permettre de faire campagne.
Preuve s’il en est que l’UMPS n’est pas une vue de l’esprit (l’Umps est la coalition des intérêts de l’UMP et du PS).
On pourra déplorer également qu’à six mois des élections ni l’UMP ni le PS n’ont encore fait le choix de leurs candidats.
Ces carences et ces incohérences, pour des raisons professionnelles ou personnelles, amplifiées souvent par des querelles d’egos décrédibilisent l’UMPS.
En mars 2013, les Montpelliéraines et les Montpelliérains sauront tourner le dos aux candidats de ce système à bout de souffle et choisiront la liste « Montpellier Fait Front » menée par France Jamet.
Pour se donner les moyens d’un avenir constructif et instaurer une démocratie apaisée, il faut d’abord avoir le courage de faire ses choix au service de ses concitoyens.