Comme cela sera régulièrement le cas, les colistiers et militants de la liste « Avec France Jamet, Montpellier fait front » se sont réunis vendredi soir dans leur toute nouvelle permanence pour faire le point sur l’organisation de la campagne et les prochaines actions militantes.
Un exposé sur la situation politique et l’état actuel des forces en présences a été présenté par France Jamet avant de laisser la parole à un responsable de l’équipe de campagne pour évoquer des aspects plus techniques.
La réunion de travail s’est achevée par un apéritif dînatoire où convivialité et cohésion ont été les maîtres mots. Le buffet que l’on pourrait qualifier de patriote a été préparé par nos militants.
Vendredi dernier, Jean-Marie Le Pen, Président d’Honneur du Front National était présent à Montpellier pour le lancement de la campagne municipale de France Jamet.
Après avoir découpé le ruban tricolore annonçant officiellement le lancement de la campagne de la liste « Avec France Jamet, Montpellier fait Front ! », depuis notre nouvelle permanence située à proximité de l’Hôtel de ville (Allée de la Méditerranée, quartier Jacques Cœur), une conférence de presse a été donnée durant laquelle Jean-Marie Le Pen a renouvelé tout son soutien à France Jamet.
Elle, qui comme Marine Le Pen, continue de creuser le sillon patriote, tracé par son père, Alain Jamet, dans le département de l’Hérault et en Languedoc-Roussillon.
Entourée par les deux co-fondateurs du Front National, Jean-Marie Le Pen et Alain Jamet, France Jamet fonde beaucoup d’espérance quant aux prochaines élections municipales de Montpellier.
En effet, les lignes politiques bougent, l’UMPS gesticule pendant que le Front National rassemble et propose de réelles solutions aux Français autant sur un plan national que local.
France Jamet à Montpellier incarne cette volonté de fédérer, par sa candidature, les Montpelliéraines et les Montpelliérains autour d’un projet local et de leur rendre la démocratie qui leur a été confisquée par des décennies de clientélisme et de laxisme.
Monsieur Domergue va solliciter une « mise en disponibilité pour les 3 mois de campagne » auprès du Conseil d’Administration de l’ICM (Institut Régional du Cancer), composé « aussi », rappelons-le, de représentants de l’Etat et notamment d’un Préfet qui le préside et dont la voix est prépondérante.
Il semble surtout que Monsieur Domergue ait du mal à s’éloigner de la direction de l’ICM-Val d’Aurelle. Celui qui se vante de ses qualités de gestionnaire fait preuve ainsi d’un esprit pusillanime qui peine à prendre des décisions et fait apparaître aussi que ses intérêts semblent prendre le pas sur l’intérêt général.
Le candidat de l’UMP sollicite indirectement la bienveillance du Parti gouvernemental afin de lui permettre de faire campagne.
Preuve s’il en est que l’UMPS n’est pas une vue de l’esprit (l’Umps est la coalition des intérêts de l’UMP et du PS).
On pourra déplorer également qu’à six mois des élections ni l’UMP ni le PS n’ont encore fait le choix de leurs candidats.
Ces carences et ces incohérences, pour des raisons professionnelles ou personnelles, amplifiées souvent par des querelles d’egos décrédibilisent l’UMPS.
En mars 2013, les Montpelliéraines et les Montpelliérains sauront tourner le dos aux candidats de ce système à bout de souffle et choisiront la liste « Montpellier Fait Front » menée par France Jamet.
Pour se donner les moyens d’un avenir constructif et instaurer une démocratie apaisée, il faut d’abord avoir le courage de faire ses choix au service de ses concitoyens.