Il faut « tendre vers un système où perdre son emploi devienne un non évènement » écrivait en octobre le groupe « majoritaire » dans ce mensuel subventionné avec votre argent.
De la même façon, les augmentations portées au maximum sont pour cette majorité dans l’ordre des choses : taxe sur l’électricité (Tcfe), sur les ordures ménagères (Teom), cantines…
« C’est à la marge » nous rétorque t-on !
C’est faux.
C’est une addition de taxes, d’impôts qui pèsent de plus en plus lourd sur le pouvoir d’achat et notre quotidien.
On peut surtout s’étonner, alors même que toutes ces collectivités se plaignent de la baisse des dotations de l’Etat et de leurs difficultés à assumer leurs responsabilités, que les économies d’échelle ne soient toujours pas au rendez-vous et que les dépenses de « communication » continuent d’augmenter.
Comme partout. Comme chaque fois.
Nous refusons leur « fatalité », car il est toujours possible de changer les choses… vraiment.
Il suffit de le décider et de dire « Stop ! »