Réaction sur « les Coûteuses Dépenses de la Mairie de Montpellier »…

Le Figaro vient d’exposer dans un article les dépenses somptuaires de la Mairie de Montpellier ou plutôt les dépenses de ceux qui la dirigent suite à un rapport provisoire de la Chambre Régionale des Comptes qui circulerait sous le manteau.

En effet, nous apprenons que des frais de déplacements, de bouche ou encore des achats abracadabrantesques type cigares à 1 750 euros ou vins à 55 000 euros ont été relevés par la C.R.C. Les juges pointent aussi du doigt des voyages aux Etats-Unis ou en Chine à des prix astronomiques, ou encore, la cerise sur le gâteau, la note salée du nouvel Hôtel de ville dont le coût prévisionnel inscrit au budget était de l’ordre de 132 millions d’euros et dont la facture finale a été de 180 millions d’euros soit plus de 36% de plus value.

On peut légitimement se poser des questions. Plus d’un professionnel des marchés publics aurait évoqué la nécessité de passer un nouvel appel d’offre afin d’être en règle avec le  Code des marchés publics. Mais quand on veut se payer Jean Nouvel, on sait que l’on devra faire face à ce type de dépassement. Pour preuve, le théâtre de l’Archipel à Perpignan… Mais il ne faut pas tout accepter Madame le Maire sur le dos des contribuables Montpelliérains !

La Chambre Régionale des Comptes a épinglé ces folles dépenses qui sont loin de servir l’intérêt de tous les Montpelliérains.

Nous attendons avec le plus grand intérêt, les réponses apportées par Mme le Maire, aux observations des juges de la C.R.C. et les mesures qui seront prises à l’encontre des responsables de cette situation.

Les contribuables Montpelliérains se posent des questions légitimes sur l’utilisation de leur argent et surtout sur le silence coupable de la Mairie concernant ces sujets graves, tant pour la conscience politique ou plutôt dans ce cas précis l’inconscience politique, d’Hélène Mandroux et de ses amis socialistes, que pour les élus qu’ils sont.

Selon la célèbre phrase, « qui ne dit mot, consent » Mme Hélène Mandroux, maire socialiste, confirme par son absence récurrente et son silence omniprésent, ces dépenses injustifiées parce qu’injustifiables.