Pêche à L’anguille : la Commission Européenne doit revoir sa Position

Communiqué de presse de France Jamet, membre de la commission pêche du Parlement européen


Du 11 au 13 décembre prochains, le Conseil Pêche de l’Union européenne se réunira pour décider de la fixation des quotas de poissons pour l’année 2023. Alors que l’an dernier à la même période, la Commission européenne avait décidé d’une baisse drastique et soudaine d’un tiers sur les quotas de sole dans le Golfe de Gascogne, voilà qu’elle a pour objectif de s’attaquer cette année aux pêcheurs d’anguilles et de civelles en étendant de 3 à 6 mois la période d’interdiction de la pêche sur ces espèces. Cette période couvrant la principale période de migration de ces espèces, la décision défendue par la Commission européenne signerait de facto l’arrêt de mort de cette pêcherie traditionnelle.

Plus de 500 pêcheurs français en Méditerranée et en Atlantique seraient touchés par cette restriction, particulièrement dans les Pays-de-la-Loire (un quart du chiffre d’affaires de presque la moitié des entreprises de pêche de la région), mais aussi en Occitanie, sans possibilité de report sur d’autres espèces ni compensation financière.

Les professionnels du secteur déplorent que la Commission européenne préfère, une fois encore, les attaquer plutôt que de prendre à bras-le-corps les effets de la pêche illégale et des activités humaines autres que la pêche, qui créent de la pollution d’origine terrestre et des obstacles à la migration des poissons.

Se tenant aux côtés des pêcheurs à l’anguille, les élus du Rassemblement national au Parlement européen demandent à la Commission européenne de revoir sa position devant le Conseil Pêche 2023.

Nucléaire : L’indépendance énergétique de la France Condamnée par Bruxelles

Communiqué de presse de France Jamet,

Membre de la commission des affaires économiques et monétaire du Parlement européen

 

Ce 22 novembre, lors d’une audition conjointe des commissions Budget et Affaires Économiques et Monétaires du Parlement Européen, les députés entendaient Messieurs les commissaires européens Dombrovskis et Gentiloni rendre compte du suivi des crédits du Plan de relance européen, financé, rappelons-le avec l’argent du contribuable.

Si un doute subsistait sur la possibilité de destiner à la restauration de notre parc nucléaire français une part de ces fonds dédiés au Plan de relance dans le cadre de RepowerEU, et ce au même titre que les autres énergies décarbonées, ce doute est désormais levé. Les commissaires européens ont tous deux rejeté catégoriquement cette légitime exigence.

Ainsi, pas un centime des 210 milliards d’euros de ce dispositif ne contribuera à la construction ou à l’entretien de nos centrales.

Il est grave et inadmissible que l’argent prélevé au Peuple français ne lui permette pas de défendre son indépendance énergétique et sa filière d’excellence qu’est le nucléaire, dans laquelle notre pays a su s’investir depuis plus de 50 ans.

Cette Europe ne doit plus se faire contre la France et les Français.

L’urgence, c’est l’alternance.

Les élus de Montpellier fait Front Soutiennent le Notariat Français

Communiqué de Jean-Marie Le Pen : Soutien au notariat français

Parce que je refuse de céder aux diktats de Bruxelles, qui veut imposer à la France, un type de société ultra-libéral,

Parce que je refuse un modèle juridique Anglo-Saxon qui tend à se mondialiser,

Parce que je crois encore que la puissance publique doit rester l’apanage de la France, et de ses délégataires,

Parce qu’une profession qui emploie 48.000 salariés et collecte pour le compte de l’Etat, 22 milliards par an d’impôts, sans coûter un centime à ce dernier, ne doit pas disparaître.

Parce que je ne crois pas que la dérèglementation de certaines professions, endiguera le chômage,

Je soutiens le Notariat Français.