Suite à un article du Midi Libre, dans l’édition de Montpellier, ce jour en page 3, France JAMET, candidate aux élections municipales de Montpellier réagit à la « montée du communautarisme » à Montpellier et dans le Languedoc-Roussillon.
Le préfet Pierre Bousquet de Florian, y fait état d’un communautarisme de plus en plus présent et visible, prenant pour exemple, la multiplication du port du voile, l’augmentation des demandes de séparation dans les lieux publics et collectifs comme les piscines ou encore l’installation d’écoles coraniques.
Son inquiétude, étant celle d’un serviteur de l’Etat, doit être prise en considération par les élus de Montpellier qui sont dans l’expectative et dans l’inaction depuis des années.
Sa prise de position pragmatique et courageuse, en opposition avec le devoir de réserve attaché à sa fonction, répond à l’immobilisme et la cécité de ses donneurs d’ordre.
A mon tour, je refuse que le communautarisme et la délinquance soient les nouveaux maîtres des quartiers de Montpellier
Dans le cadre des élections municipales, la liste que je conduis, propose aux Montpelliérains d’instaurer localement, la tolérance zéro contre le communautarisme avec la mise en place de dispositifs de sécurité renforcés et de moyens humains adaptés.
Rappelons que les socialistes ici plus qu’ailleurs en Languedoc-Roussillon, par certaines aides ou subventions clientélistes favorisent, même indirectement, la construction de lieux de culte dans ces lieux où le communautarisme ne cesse de croître, cautionnant ainsi ces zones de non droit où les habitants vivent quotidiennement dans l’insécurité.
Diviser pour mieux régner, voilà ce que nous subissons depuis des années et encore aujourd’hui. Voilà ce à quoi, nous mettrons un terme définitif, demain, quand nous serons au pouvoir, avec les Français et avec les Montpelliérains.
France JAMET Conseillère régionale