Le 7 juin 2019
Selon un rapport du Sénat du 28 mai 2019, dévoilé hier 6 juin, 10 à 25% des produits agricoles et alimentaires importés dans l’Hexagone, souvent de l’autre bout de la planète, ne respecteraient pas «les normes minimales» environnementales et sanitaires qui sont imposées à nos agriculteurs auxquelles les consommateurs français sont très attachés.
Ce rapport confirme, hélas, ce que les élus du Rassemblement national et du groupe des Nations et des Libertés au Parlement européen ne cessent de répéter : les normes imposées à nos producteurs ne sont nullement respectées par les produits importés hors UE selon le sacro-saint principe du libre-échangisme débridé.
Favorables au « juste » échange, les élus patriotes du groupe ENL continueront de combattre sans faiblesse ce système technocratique bruxellois, en dénonçant cette perversion qu’est le libre-échange mondialisé, en soutenant nos producteurs et nos filières contre un système qui va jusqu’à remettre en cause directement notre sécurité alimentaire.