L'Histoire nous donne encore raison

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 (2)

Djamel Boumaaz est intervenu sur l’audit effectué sur quelques associations de Montpellier afin de savoir comment l’argent public était dépensé et à qui il était adressé. Ce rapport qui porte seulement sur 10% des associations laisse imaginer ce qu’il peut se passer dans les 90% restantes.

Quelques exemples :

– Des locaux mis à disposition dont les serrures ont été changées ;

– Une salle de jeux abritée sous couvert d’activité associative ;

– Bar, restaurants, Association fantôme…

Pour un montant de 3 millions d’euros (seulement en avantage en nature).

S’il est certain que le travail des associations est important et qu’elles sont animées souvent par des bénévoles, des femmes et des hommes de bonnes volontés désintéressés et sincères, il n’en demeure pas moins qu’elles se révèlent être une manne fructifiante pour d’autres…

Notre groupe n’a jamais manqué de relever ces gabegies et cette injustice faite à nos concitoyens qui financent à fonds perdus sans que les élus en charge de la gestion de l’argent public ne prennent la mesure ni la peine (jusqu’à maintenant) d’y mettre le holà.

Nous avons soutenu la création d’une convention avec une partie « clauses particulières » et dénoncé un clientélisme qui n’est même plus implicite mais explicite. Nous avons encore une fois demandé plus de transparence.

Il aura malheureusement fallu que l’heure des règlements de comptes personnels ait sonné pour voir enfin aboutir nos demandes et transparaître quelques cruelles vérités.

Aux âmes outrées et en réponse aux quolibets qui accompagnaient chaque fois nos votes de défiance à l’égard des millions dépensés (16 millions votés en février 2015) et des avantages accordés à une foultitude d’associations sans que jamais nous n’ayons pu obtenir des précisions sur l’objet et le fonctionnement de 99% de ces associations… Djamel Boumaaz a tenu à mettre les points sur les I

Par le petit trou de la Lorgnette

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 (1)

Ce conseil municipal a battu un petit record : près de 6 heures 30 de débats majoritairement animés par le Groupe d’opposition du Front National. Enfin, débats… après une heure d’interventions diverses sur l’actualité, et plus d’une heure d’un rapport d’audit (que nous avions pris la peine de lire, contrairement à d’autres…), les dossiers ont été enfin abordés.

Préalablement, le Maire a tenu à lancer un débat à propos de l’annonce de la ligne TGV Toulouse-Bordeaux qui a été décidée, une nouvelle fois, arbitrairement par Paris, au détriment de la ligne Toulouse-Narbonne, qui aurait permis à nos deux capitales liées par le gouvernement socialiste, d’être reliées et d’œuvrer ensemble à l’essor de nos territoires (cf infra : Toulouse tourne le dos à Montpellier).

Cette nouvelle plombe très certainement les espoirs légitimes des acteurs économiques de notre région, mais n’entame en rien l’optimisme béat de M. Saurel qui continue néanmoins de « soutenir le gouvernement sur cette réforme ».

D’autant plus qu’il n’aura échappé à personne que cette tactique est essentiellement électoraliste. Le pouvoir socialiste s’applique ainsi à soutenir la campagne de Madame Delga qui est déjà plombée depuis le début (foire d’empoigne pour obtenir des avantages et titres de part et d’autres de sa liste) et s’enlise dans sa méconnaissance de notre région, de ses dossiers et l’absence de programme.

A ceux qui regardent par le petit trou de la lorgnette pour projeter l’avenir de notre région et portent le sujet de la campagne sur « LE nouveau nom » de notre future région, France Jamet a apporté quelques arguments concernant la ligne TGV et la LNMP (lire Ligne Nouvelle de Montpellier Perpignan) dont on parle depuis 30 ans et dont le dernier tronçon et encore à l’étude… après plus de 30 ans d’impéritie et d’inertie.

Régionales 2015 sur TVSud : Pour le Candidat FN Louis Aliot, "Reynié Défend tout ce que la gauche a Défendu"

Conférence de presse de Louis Aliot le 18 septembre 2015 avec France Jamet, présidente de groupe FN à la Région Languedoc-Roussillon et Gérard Prato, Secrétaire départemental de l’Hérault – Reportage de TV Sud Par Marlène Meck

Après Toulouse, ce lundi, c’est à Montpellier que Louis Aliot a lancé sa campagne aux élections régionales, ce vendredi 18 septembre 2015. Le candidat Front national à la présidence de la future grande région Languedoc-Roussillon – Midi-Pyrénées espère rassembler 30% des électeurs derrière lui au soir du premier tour. Le programme reste à définir mais d’ores et déjà le vice-président du FN vise un double objectif politique : ravir la Région au Parti socialiste et séduire les électeurs des Républicains, aux dépens notamment de la tête de liste Dominique Reynié.

La liste départementale de l’Hérault sera menée par le binôme Gérard Prato – France Jamet. La présidente du groupe FN au Conseil régional Languedoc-Roussillon apportant son expérience et le nouveau secrétaire départemental sa fraîcheur. Reste à savoir qui sera tête de liste, l’investiture par le bureau national étant prévue le 21 septembre 2015. Quant au maire de Béziers, Robert Ménard, il fait partie du dispositif de campagne mais ne sera pas candidat.

Deux meetings sont prévus lors de cette campagne électorale, le premier à Nîmes, le 2 décembre prochain, en présence de Marine Le Pen et un second à Toulouse.

Replay de L’émission « La Voix est Libre » avec France Jamet (France3 Languedoc-Roussillon 06/06/15)

Et demain la région ?

Quelles perspectives pour la région? La fusion avec Midi-Pyrénées appelle une nouvelle culture politique d’action publique. Pas facile d’autant que la tradition administrative française est assez éloignée de cette culture de la coopération. C’est le thème de La Voix est Libre samedi 6 juin à 11h30.

Jean-Jacques Pons, président du groupe centriste au conseil régional et France Jamet, présidente du groupe FN au conseil régional invités de l'émission "La Voix est Libre" samedi 6 juin 2015. © France 3 LR

© France 3 LR Jean-Jacques Pons, président du groupe centriste au conseil régional et France Jamet, présidente du groupe FN au conseil régional invités de l’émission « La Voix est Libre » samedi 6 juin 2015.

Mener une politique d’action publique commune aux deux régions parait au premier abord assez complexe à mettre en oeuvre. En outre, l’absence d’un leadership politique incontestable en Languedoc-Roussillon rajoute à une visibilité parfois réduite de la région dans cette construction. Pour faire face à cette nouvelle entité, les métropoles de Toulouse et de Montpellier s’organisent mais tout reste à inventer…Pour en parler, sur le plateau de La Voix est libre:

  • Max Lévita, maire Adjoint de Montpellier
  • France Jamet, présidente du groupe FN au conseil régional
  • Jean-Jacques Pons, président groupe centriste au conseil régional

Une émission préparée et animée par Stéphane Ratinaud .


La voix est libre

29 mai 2015 : 10 ans de Résistance du peuple Français face à Bruxelles

À l’occasion des 10 ans du NON des Français à la Constitution européenne par référendum, Marine Le Pen s’adresse aux Français.

(voir la vidéo)

 

 

Mes chers compatriotes,

Il y a 10 ans jour pour jour, le peuple français disait massivement NON par référendum à la Constitution européenne.
Contre la Caste médiatique, la caste politicienne de l’UMPS, économique, et le show biz, il criait au monde sa soif de liberté et son amour de la France !

Ce 29 mai 2015, nous célébrons avec l’ensemble des patriotes ce magnifique geste de rébellion, de libération. Nous célébrons cette constante du peuple français dans son histoire à se mettre debout quand ses élites autoproclamées cherchent à le maintenir à genoux.
La funeste Constitution européenne fut balayée par les urnes. Fut rejeté par le peuple français ce texte qui prévoyait de remplacer les Etats Nations par l’Europe fédérale, qui gravait dans le marbre l’ultralibéralisme bruxellois, la disparition intégrale des frontières économiques et migratoires, le règne de la Finance, la suprématie arrogante des technocrates de l’Union Européenne sur nos lois.

Malheureusement, vous le savez, ce vote souverain a été foulé aux pieds quelques années plus tard, en février 2008, quand Nicolas Sarkozy alors président de la République fit voter par le Parlement réuni en Congrès un copié-collé de la Constitution européenne rebaptisé « Traité de Lisbonne ».
Cette trahison du peuple français et de nos principes démocratiques les plus élémentaires était la plus grave depuis la seconde guerre mondiale. Elle fut permise par le vote des parlementaires UMP et du centre bien sûr, mais aussi par l’apport massif des voix du PS. Elle entache à jamais le bilan de Nicolas Sarkozy et ruine sa crédibilité quand il ose encore prétendre aujourd’hui qu’il sera demain le défenseur du référendum…

Est-ce à dire que le vote des Français en 2005 fut inutile du fait de cette trahison ? Non en aucune façon. La Caste sait depuis 2005 que le peuple français n’a pas l’intention de laisser tomber la France. Et depuis qu’elle le sait, la Caste tremble, panique. Tant mieux car elle commet des erreurs.

Chaque patriote sait lui qu’il fait partie d’une majorité : voilà qui incite à l’optimisme ! Un système autoritaire ne tient jamais longtemps face aux aspirations profondes d’un peuple épris de justice et de démocratie.
Ce vote a forcé l’UMPS a tomber les masques en faisant passer de force un texte pourtant rejeté dans les urnes. Depuis, voyez comme le temps s’est accéléré ! L’UMPS n’a plus jamais osé faire le moindre référendum national en France. Nicolas Sarkozy a fait pression pour annuler un référendum sur l’euro en Grèce en 2011. Les élites ont été forcées d’avouer leur haine de la souveraineté populaire. Chacun s’est révélé et c’est très bien ainsi, car le citoyen juge d’autant mieux ses responsables publics qu’il les voit tels qu’ils sont vraiment, et non tels qu’ils voudraient apparaître. Un voleur déguisé depuis des années en honnête homme redevient un voleur aux yeux de tous quand il est pris la main dans le sac !

Alors, mes chers compatriotes, célébrons aujourd’hui 29 mai 2015 les dix ans de cet esprit français de résistance ! Préparons-nous à chasser définitivement cette caste qui s’est permis de trahir les Français.
Mon projet pour la France s’appuie sur cet esprit d’insoumission et de liberté ! Il prévoit la réhabilitation radicale du référendum. Par des référendums obligatoires sur les grands sujets. Par l’obligation d’utiliser le référendum pour modifier la Constitution ou en matière européenne. Par la suppression de cette prérogative qui était donnée au Parlement de se réunir en Congrès et qu’il ne mérite plus, l’ayant détournée contre le peuple français en 2008. Par la création d’un référendum d’initiative populaire déclenché grâce à la collecte de 500 000 signatures au niveau national. Par l’usage du référendum local à tous les échelons de décision : commune, département…

Plus que jamais en ce jour, mes chers compatriotes, crions notre amour de la liberté et de la France !

Les élus de la Métropole ont voté les yeux grands Fermés

A la séance du 31 mai 2015, tous les conseillers de la Métropole sauf France Jamet ont voté pour un Contrat de Plan Etat Région (qu’ils n’ont jamais eu en main ni lu).

Ce document devait inclure un volet territorial métropolitain promis par M. Saurel qui n’a jamais été présenté au Conseil.

Mais tous les élus métropolitains l’ont voté les yeux grands fermés.

Le Front National ne s’est pas mêlé à cette mascarade

Seule France Jamet a fait entendre sa voix pour mettre en garde le conseil métropolitain sur l’issue hasardeuse de cette démarche, ce saut dans le vide et a surtout dénoncé le caractère antidémocratique et dénué de toute transparence de ce vote.

Les faits lui ont donné évidemment raison. Le lendemain, 23 mai, les 116 pages du fameux CPER soumis au vote et présenté le matin même au Conseil Régional par son Président ne n’incluaient pas le volet territorial avec les desiderata de M. Philippe Saurel.

L’exécutif socialiste régional a vu sans doute dans cette démarche une tentative du Maire de Montpellier de faire pression sur Solferino et les candidats à l’élection régionale de décembre puisque ce dernier ne cache pas non son ambition de se présenter à ce qu’il définit comme « des petites présidentielles« .

A moins que l’enjeu ne soit tout simplement un portefeuille ministériel dont il rêve encore secrètement.

Mais pour nourrir ses projets personnels, l’ex « maire à plein temps » a engagé tous les conseillers.

Tous les élus de la Métropole se sont ainsi retrouvés avec lui Gros-Jean comme devant….

Sauf le Front National, grâce à lucidité de France Jamet, qui défend avant tout l’intérêt général et non les intérêts particuliers ou les ambitions d’élus toujours en quête de plus de pouvoir.

 

 

Montpellier vs Toulouse : Ils ont tout Loupé… (+vidéo)

Si la préfecture, le rectorat, l’Ars sont amenés à quitter notre région demain, c’est à cause de la loi Notre votée par les parlementaires socialistes et Ump de l’Hérault.

Ils ont ainsi renforcé la volonté de Solférino et la puissance de Toulouse, au détriment de Montpellier.

La réforme devait conduire à des économies et entamer le mille-feuille ?

Les élus seront payés plus cher, à l’image des conseillers départementaux, et nous avons une strate supplémentaire, la Métropole, « L’arme fatale 1 » de Saurel.

Aujourd’hui, on nous joue « L’arme fatale 2 » : un vœu auquel ni Valls, ni Hollande ne répondront.

Sans logique, sans conviction ni stratégie, ceux qui ont accompagné la fusion n’ont pas mené la guerre qui s’imposait à vos intérêts.

Le FN seul l’a dénoncé.

Alors que notre hymne national « La Marseillaise » nous engage à défendre «nos campagnes », l’UMPS nous a joué sa berceuse.

Aujourd’hui, on serait tenté de dire qu’ils ont tout loupé.

Mais en fait, ils n’ont rien tenté…

 

CE QUE LA PRESSE EN DIT…

 

[La Marseillaise]

La Métropole a adopté un vœu pour réclamer le maintien de l’Agence régionale de santé dans la région.

Branle-bas de combat ! Depuis que Toulouse a été désignée capitale « provisoire » de la future grande région, et que tous les préfigurateurs (chargés de préparer l’organisation administrative du territoire fusionné) ont été nommés en Midi-Pyrénées, les esprits s’échauffent dans le Montpelliérain. On y craint les effets dévastateurs d’une concentration des pouvoirs à Toulouse sur l’économie et l’attractivité du territoire héraultais.

C’est pour contrer cette « fatalité », que l’assemblée de la Métropole de Montpellier a adopté mardi 28 avril un voeu pour que le siège de l’Agence régionale de santé (ARS) soit maintenu à Montpellier. « C’est un impératif pour le CHRU, pour les instituts, pour la fac de médecine, pour le réseau d’hospitalisation privée, pour les chercheurs », énumère le président Philippe Saurel. Fait peu commun, le texte de ce voeu a été co-rédigé et présenté au conseil par Jacques Domergue, chef de l’opposition UMP à Montpellier. Mais le statut incontesté du médecin, directeur de l’Institut de lutte contre le cancer (ICM), lui confère une légitimité particulière dans ce domaine.

 

«  Nous perdrions notre identité et notre âme »

« Le conseil des ministres l’a précisé : la désignation des préfigurateurs ne saurait prédéterminer la localisation des administrations, a rappelé Jacques Domergue en préambule. Il faudra que ça se vérifie. » Rappelant l’importance de la médecine dans l’histoire de la ville, avec une fac de médecine créée en 1289, ce qui en fait la plus ancienne du monde occidental encore en activité, mais surtout le poids économique de la santé sur le territoire de la Métropole (130 000 emplois y sont liés), il appelle donc à « une répartition équilibrée des champs de compétences entre les deux métropoles. »

« Si nous perdions l’ARS, nous perdrions notre identité et notre âme », poursuit l’élu de droite, un tantinet grandiloquent, allant jusqu’à appeler à la manifestation en cas de surdité du gouvernement. « Il en va de notre survie ! » A l’exception du FN, qui n’a pas souhaité participer au vote pour « ne pas être associés à cette mascarade », le voeu a obtenu l’unanimité des élus. Ils se sont succédé au micro durant près d’une heure pour enfoncer le clou et défendre en Montpellier une « capitale de la santé ». Y compris Alex Larue (UMP), même s’il a profité de son intervention pour fustiger l’attitude « revancharde » de Philippe Saurel ces derniers mois, à ses yeux à l’origine de l’affaiblissement de Montpellier.

Seule France Jamet (FN) a clairement exprimé son rejet du texte. Reprochant à Philippe Saurel d’avoir « accompagné ce processus » en se rapprochant du maire de Toulouse Philippe Moudenc, elle dénonce un « voeu totalement démagogique » qui va entraîner la Métropole « dans une spirale sacrificielle ».

Une position évidemment fustigée par tous les élus prenant la parole après elle. Mais nombreux ont aussi appelé à ne pas se contenter de la santé. Bernard Traviers (vice-président à la Culture) a exprimé ses inquiétudes sur le devenir de la Cour d’appel, tandis qu’Henri Rouilleault (élu d’opposition à Castelnau-le-Lez) a réclamé le maintien de deux rectorats.

* Source lamarseillaise.fr (Marine Desseigne)