Nom de la Région : France Jamet Défend les Positions du Front National

France Jamet, Présidente du Groupe des 40 élus régionaux du Front National et du Rassemblement Bleu Marine, défend avec force et courage les positions de notre mouvement, concernant le choix du nom de notre Région. La réponse apportée par Carole Delga reste tristement la même qu’à l’accoutumée : mépris, insulte et sectarisme !

 

France Jamet : débat dans "La voix est Libre" du 21 mai 2016.

France Jamet, Présidente du Groupe des 40 élus régionaux du Front National et du Rassemblement Bleu Marine, était l’invité d’un débat politique dans «La Voix Est Libre» sur France 3 Midi-Pyrénées.

Lors de ce débat plusieurs sujets ont été abordés,  comme le mouvement des forces de l’ordre, les casseurs des manifestations contre la loi travail et l’assemblée des territoires.

Conseil Municipal de Montpellier (31.03.2016): la fausse Stagnation des Impôts.

 

Lors de cette première affaire, mise à l’ordre du jour, l’équipe du maire-président à mi-temps a une nouvelle fois fait preuve de démagogie.
En effet, cette année encore les impôts des Montpelliérains vont augmenter, malgré l’acharnement de la municipalité à vouloir démontrer le contraire.
En effet, si le taux d’imposition reste inchangé, les bases quant à elles augmenteront de 0,9 %. L’impôt payé par le contribuable étant le résultat du taux par la base, l’impôt augmentera de ce fait.
Monsieur Levita le reconnaît d’ailleurs :  » Effectivement pour les contribuables, il peut y avoir augmentation. »

C’est d’autant plus vrai que dans le budget primitif, la pression fiscale augmentera, sur la ville, de 2 %.

Il n’en reste pas moins vrai que les taux sur Montpellier sont prohibitifs par rapport aux villes de même taille :
– Taux de la taxe d’habitation : 22.49% à Montpellier contre 21% dans une ville similaire,
– Taux de la taxe sur le foncier bâti : 31.18% à Montpellier contre 22.07% dans une ville similaire.

Pourtant baisser, réellement, l’impôt c’est possible. Les maires Front National nous l’ont démontré.

Intervention: France Jamet.

 

Michel Delpech, un Chanteur Toujours jeune

Michel Delpech est mort. A 69 ans, après un terrible combat contre une maladie sans pitié.

Nous tenons à rendre un hommage sincère à ce chanteur d’exception, qui dès les années 1970 nous a touchés (es), émus (es) et enchanté (es). Sur des airs légers et entraînants, il parlait avec nostalgie et mélancolie de notre temps et de nos vies , mais sa vision et ses créations était visionnaires, modernes et humaines.

Nous n’oublierons pas son sourire ravageur, ce charme français, léger et personnel qu’il incarnait parfaitement et jusqu’à la fin de sa vie. Il était terriblement charmant, et sa personnalité, ses chansons, son talent reconnus font partie de notre patrimoine culturel.   La variété et les chansons populaires ne sont pas des arts mineurs, ils incarnent notre exception française et l’esprit de France. Nous leur devons beaucoup car elles illuminent et subliment notre quotidien en toute intimité…

Nous présentons nos condoléances à sa femme Geneviève, à ses enfants et à ses proches.

Adieu Michel Delpech. Et merci. Nous continuerons de fredonner vos mélodies et de laisser traîner ces refrains dans nos cœurs…

QUE MARIANNE ETAIT JOLIE LIVE MICHEL DELPECH… par kirivalse

La France est Sereine, C'est le "système" qui a peur

(VIDEO) Réaction sur le plateau de France 3 de France Jamet aux excellents résultats obtenus par Louis Aliot au soir du premier tour des élections régionales en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.

 

Dimanche : Votez Louis Aliot pour défendre notre Ville et notre Région!

A propos des Comités Techniques

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 : Djamel Boumaaz est intervenu sur le dossier concernant la Convention financières entre la Ville et la Métropole.

Il s’agissait selon le Maire-Président de « rationaliser l’action publique et de maîtriser des coûts, dans un contexte de contrainte budgétaire ». C’est ainsi qu’il a vendu aux maires des 31 communes le principe de la Métropole que ces derniers ont actée et signée des deux mains, dans le cadre d’une Charte qui rendrait les enfants heureux. A Montpellier-Ville, les fonctionnaires qui y travaillent ne semblent pas du même avis.

En fait, force est de constater :

  • Que les économies ne sont pas au rendez-vous, au contraire ;
  • Mais que la « rationalisation de l’action publique » n’est pas non plus convergente avec les organisations syndicales qui dénoncent l’absence de dialogue et regrettent que leurs interrogations et leurs craintes ne soient pas prises en compte.

Si les arguments du Maire-Président semblent avoir été plus convaincants auprès des élus qu’avec les fonctionnaires municipaux, on peut se demander ce qu’il en est dans les autres communes de la Métropole…

 

 

Julien Sanchez, maire de Beaucaire, élu du Peuple, Bousculé par le Préfet de Région

Samedi 12 septembre, Julien Sanchez, maire de Beaucaire, s’est rendu à la Maison de la Chimie, répondant à la convocation de Bernard Cazeneuve et Manuel Valls aux 36.000 maires de France.

Ils furent environ 600 à répondre à cet appel afin d’exposer leur slogan : « Notre commune va accueillir des réfugiés »

Lorsque Julien Sanchez s’est levé pour exposer la position de tous ceux qui refusent cette nouvelle vague migratoire imposée par l’Union Européenne, le Préfet, M. Pierre de Bousquet de Florian, censé incarner la prédominance de l’Etat, est sorti de sa fonction pour entrer dans son « rôle« , celui du sectarisme et de l’antidémocratie.

Comme le dit Robert Ménard : « La scène en dit long à la fois sur sa neutralité politique [celle de Pierre de Bousquet de Florian] mais aussi, tout simplement, sur ce qu’il est. À la lointaine époque où la noblesse régnait sur la France, on eût dit : voilà un geste déshonorant ! Aujourd’hui, dans la carrière d’un haut et puissant fonctionnaire, c’est, sans doute, une bonne note de plus… »

 

Le préfet qui tire le bras de Julien Sanchez, le bouscule et tente de lui arracher son discours…. C’est le Préfet du Languedoc-Roussillon, Monsieur Bousquet, représentant de l’Etat (?)

Non à la Charte des Langues Régionales ET Minoritaires

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 (3) France Jamet est intervenue à propos du rapport 3 intitulé « Soutien à la langue occitane ». Il incluait notamment des aides et soutiens aux calandretes mais surtout demandait aux élus du conseil municipal de faire pression sur l’Etat afin qu’il signe « enfin la Charte Européenne des Langues Régionales ET minoritaires ».

Le Front National a redit son attachement à la langue occitane en tant que tradition culturelle mais rejeté le soutien à cette fameuse Charte que tente de nous imposer l’Union Européenne et que le Conseil Constitutionnel a déjà refusée. Le rapport 3 portait sur plusieurs points :

  • Il s’agissait d’adopter les orientations de la ville en soutien à l’occitan notamment à diverses manifestations associatives et calendretes,
  • Mais il s’agissait surtout de « demander à l’Etat de ratifier la Charte Européenne des Langues Régionales ET minoritaires » que la France n’a pas encore signée. Ajoutant même que la France doit s’engager dans la défense de ses langues minoritaires.

France Jamet a d’abord mis en garde à ce que cette défense ne s’oppose pas à l’unité nationale. Il est ainsi séduisant de créer dès la maternelle un cursus français-occitan mais elle a rappelé qu’il ne fallait pas non plus oublier de conforter les cursus français-français puisque nos enfants maîtrisent de moins en moins notre langue nationale.

Elle a rappelé la décision du Conseil Constitutionnel du 15 juin 1999 qui refusait  « au nom de l’unicité et de l’indivisibilité de la République et de l’usage exclusif du français par les autorités administratives et des services publics » alors même que Monsieur Barral voulait  « la gommer pour permettre à la Charte européenne de s’imposer », puis l’Ordonnance de Villers-Côterêts du 10 août 1539.

Outre le danger de cette fragmentation de la nation par un « régionalisme politique », la Charte tend surtout à favoriser le communautarisme en amenant l’officialisation des « langues d’origine » au nom d’une idéologie multiculturaliste qui se justifiera plus encore demain par une immigration massive que plus personne ne peut nier.

Le Front National a redit son opposition à la dislocation de la France voulue par Bruxelles et demandé un vote par division afin de ne pas faire l’amalgame entre le soutien à la langue occitane et la Charte de Bruxelles.   En réponse, M. Barral a d’abord noyé le poisson en développant le sujet des calendretes à laquelle il a tenté d’amalgamer notre hostilité à la Charte Européenne des Langues régionales et minoritaires.

Puis il a expliqué que le principe d’une « nationalité qui exclut les autres nationalités » n’était pas pris en compte « actuellement » par la collectivité municipale actant ainsi non pas le « régionalisme occitan » mais bien un « nationalisme occitan ». Puis il s’est largement emmêlé les pinceaux avec sa vision, celle de l’Union Européenne et le texte défendant « une politique linguistique cohérente et volontariste sur l’ensemble de l’Espace d’Oc ». Comprenne qui pourra.

L’esprit (de la loi) et les conséquences de ce texte n’étaient ni clairs ni assumés…   Comme d’habitude, les premières invectives sont venues de l’Ump, dociles soutiens de la majorité (notamment et comme à son habitude, de la part de l’élu dit « le Républicain » Dumont qui refuse systématiquement de chanter la Marseillaise en début de séance, s’emmurant dans un mutisme de rigueur, lèvres pincées et bras croisés…)

Puis des noms d’oiseaux et cris d’exaspération ont fusé ensuite du côté de la majorité de gauche de Monsieur Saurel qui nous a finalement refusé un vote par division…Non sans avoir conclu avec une large dissertation hors sujet sur l’occitan, niant ainsi les effets de la Charte Européenne sur notre identité et nos traditions.

Vivement Marine, avant que l’Histoire nous donne encore raison…