[ Communiqué de France Jamet ] À Sète, un Technocrate Bruxellois nargue les Pêcheurs Français : honte à lui !

En villégiature estivale à Sète, le 2 septembre, le commissaire européen à l’Environnement, aux Océans et à la Pêche, Virginijus Sinkevicius, est venu « s’assurer que les pêcheurs puissent poursuivre leur activité, même avec moins de jours sur l’eau »…

Peut-on faire encore plus hors sol ? C’est à croire que Virginijus Sinkevicius a le goût de la provocation, alors que le plan européen “West Med” menace de bientôt réduire à 140 le nombre maximal de jours de sorties en mer autorisés pour les pêcheurs en Méditerranée, bien en dessous de leur seuil de rentabilité de 177 jours de sortie en mer par an.

La raréfaction du merlu prétextée par Bruxelles ne représente que 7% des prises des pêcheurs. Elle est la conséquence d’une pollution des eaux dont les pêcheurs ne sont pas responsables. Les pêcheurs continuent  d’être traités comme des délinquants, alors que l’existence de la filière n’a jamais été aussi menacée et qu’ils sont devenus une variable d’ajustement des technocrates de Bruxelles.

Nos pêcheurs, fiers de leur métier noble et ancestral, voudraient le faire perdurer afin de pouvoir contribuer à garantir la pérennité de la filière et celle de notre souveraineté alimentaire.

Depuis des décennies, Bruxelles par sa politique commune de la pêche s’est attaché à boucher toutes leurs perspectives d’évolution, alors même que nos pêcheurs respectent les normes environnementales les plus strictes au monde et qu’ils ne cessent de devoir s’adapter à de nouveaux règlements toujours plus exigeants.

Cette politique est d’autant plus injuste que l’Union européenne continue de signer des accords de libre-échange qui font la part belle à une surpêche industrielle dont les conditions ne correspondent nullement à nos normes sanitaires et environnementales.

Nous ne pouvons plus tolérer que la pêche française soit la proie du cynisme bruxellois. En 2022, avec Marine Le Pen, nous donnerons la priorité à la défense des intérêts de nos pêcheurs et de notre filière française.

[ Communiqué de France Jamet ] Soutien aux Utilisateurs de Binance

Binance, la plus grande plateforme de cryptoactif (transactions numériques) du monde, fait l’objet d’une plainte de la part de ses utilisateurs à la suite d’une défaillance de ses services.
En effet, le 19 mai, alors que le bitcoin perdait 20% de sa valeur, les infrastructures de réseau de Binance n’ont pas permis à des milliers d’utilisateurs d’avoir accès à leur compte et de disposer de leurs actifs. Binance, face à cette négligence, n’a proposé aucune indemnisation décente à des investisseurs qui ont perdu parfois des dizaines de milliers d’euros.
Au sein de la Commission des Affaires économiques du Parlement européen, le Rassemblement National se bat tous les jours pour que les grandes plateformes d’échanges financières soient rendues responsables de leurs manquements. Il faut légiférer afin qu’en cas de panne de réseau, ces plateformes soient tenues d’indemniser intégralement les pertes des investisseurs qui résulteraient d’une interruption indue de leurs services.
Le monde des crypto actifs ne doit pas devenir captif de quelques grandes plateformes d’échange qui pourront faire ce qu’elles veulent avec les consommateurs.
Loin des pratiques que se permet actuellement la haute finance, l’État stratège que propose Marine Le Pen sera garant des conditions d’investissements justes et équitables pour tous.

[ Communiqué de France Jamet ] Pour Sanofi, la Pandémie N’est Qu’une Aubaine pour Détruire des Emplois tout en Encaissant les aides de L’État

Pour le directeur de Sanofi France, la crise du Covid-19 a démontré qu’une « Europe de la santé » était à développer parce que « les réponses étatiques ne sont pas de bonne taille ».

Surprenante déclaration, puisqu’il s’avère que non seulement « l’Europe de la santé » n’existe pas (la crise a démontré que cette chimère ne pouvait se transformer qu’en usine à gaz), mais aussi que la réponse étatique était précisément l’échelle la plus opérationnelle pour l’ensemble des pays de l’Union.

Sanofi a échoué à offrir à la France son propre vaccin. Pourtant, l’Observatoire des multinationales souligne dans son rapport[1] que Sanofi, qui a été aidé par l’État pour résister à la crise, va supprimer un millier d’emplois en France, dont des postes de chercheurs… tout en prenant bien soin de maintenir ses dividendes, bien sûr. À croire que le progrès scientifique et la santé publique passent bien après les intérêts financiers des multinationales.

Le site de Montpellier, dont Olivier Bogillot vante à juste titre les mérites, va être durement frappé par ces restrictions : 55 emplois vont disparaître début 2022 ! En l’espace de 12 ans, ce site montpelliérain est passé de 1 400 postes à 850.

Cette annonce avait été faite il y a un an, juste après que Macron a débloqué 200 millions d’euros pour aider l’industrie pharmaceutique et les relocalisations. L’État stratège que Marine Le Pen mettra en place en 2022 conditionnera les aides publiques versées aux entreprises au maintien des emplois sur le territoire français.

 

[1] Observatoire des multinationales « Allo Bercy ? Pas d’aides publiques aux grandes entreprises sans conditions » mai 2021

[ Question Parlementaire ] Contrôle de la Surpêche aux Pays-Bas

Question avec demande de réponse écrite  E-003217/2021
à la Commission
Article 138 du règlement intérieur
France Jamet (ID)

Des ONG ont annoncé le 16 juin dernier avoir lancé une action en justice contre les autorités néerlandaises pour «avoir laissé la porte grande ouverte aux fausses déclarations de captures de poissons et à la surpêche, en violation directe de la législation européenne».

L’autorité néerlandaise chargée de la sécurité des aliments et des produits de consommation (NVWA) est soupçonnée d’omettre régulièrement de vérifier la quantité de poissons réellement ramenés à terre. Chaque année, les grands chalutiers néerlandais introduisent sur le marché de l’UE 400 millions de kilos de harengs, maquereaux et merlans bleus congelés. Or, la NVWA ne parviendrait pas à garantir le pesage correct des poissons capturés et débarqués.

Alors que les petits pêcheurs européens subissent un contrôle de plus en plus étroit et restrictif dans l’exercice de leur métier, il apparaîtrait scandaleux que des milliers de tonnes de poisson entrent illégalement chaque année sur le marché de l’UE via les grands bateaux-usines néerlandais tels que le Scombrus.

1. La Commission va-t-elle se pencher sur le cas du contrôle de la surpêche aux Pays-Bas?

2. S’il s’avère qu’il y a eu défaillance des autorités néerlandaises, quelles sanctions la Commission compte-t-elle adopter?

[ Communiqué de France Jamet ] Macron Privilégie les fonds de Pension Américains au Détriment de nos petits Patrons.

L’observatoire des multinationales vient de publier un rapport accablant sur la politique d’aide totalement inique décidée par le gouvernement macroniste.

L’inconditionnalité des aides publiques a permis à toutes les sociétés du CAC40 de toucher des aides, sans leur interdire de verser des dividendes à leurs actionnaires ou de procéder à des licenciements. Ce sont ainsi 42 milliards d’euros de dividendes qui ont été versés en 2020 et dont le premier bénéficiaire est le fonds de pension américain Black Rock.

Alors même que le CAC40 a détruit plus de 30 000 emplois en France en 2020, il est indécent que ces grands groupes qui font des milliards de profits bénéficient d’aides publiques sans aucune condition en matière de gestion ou de maintien de l’emploi, alors même que nos petits patrons luttent tous les jours pour leur survie face à une pression fiscale et une crise économique qu’ils subissent en première ligne.

Le Rassemblement National remettra à l’honneur le vrai entreprenariat, celui qui crée, innove et embauche, grâce à une politique économique appuyée et confortée par un véritable État stratège qui rétablira l’équité et la justice dans la vie économique de la Nation.

À Strasbourg, les LR Veulent plus D’accords de Libre-échange !

Lors du vote sur le rapport annuel concernant la politique de la concurrence, les LR ont voté pour la suppression d’une avancée considérable du texte : la critique de « la politique des accords de libre-échange à tout prix », promus par la Commission européenne.

Une fois de plus, les LR, qui prétendent défendre le secteur agricole, votent pour sa ruine au Parlement Européen.

Alors que nos agriculteurs français meurent de la concurrence déloyale qui découle de ces Accords de Libre-Échange iniques, les LR freinent toute avancée qui les remettrait en question.

A l’instar des macronistes, qui, eux, se sont abstenus, ils s’illustrent ainsi dans le double discours permanent.

Avec le Rassemblement National, les agriculteurs pourront compter sur nous pour ne pas faillir dans à la défense de leurs intérêts.