Aides au Carburant : le Gouvernement Macron Saborde notre Filière pêche

Ce vendredi 22 septembre, M. Berville, secrétaire d’État à la Mer, dans un contexte déjà très tendu, n’a pas voulu revenir sur la suppression des aides au gazole pour nos pêcheurs, le 15 octobre prochain, abandonnant à Total la prise en charge d’une « aide » largement insuffisante de 13 centimes le litre.

 

C’est un véritable coup de grâce qui traduit dramatiquement la déconsidération de la part de nos dirigeants à l’égard de nos travailleurs de la mer!

Déjà victimes d’une réglementation absurde édictée par Bruxelles, des crises qui se succèdent et de l’inflation, ils voient leur filière disparaître.

On fait ainsi payer à nos pêcheurs le prix des erreurs politiques d’Ursula Von der Leyen et d’Emmanuel Macron. Comme on fait payer aux Français l’énergie au prix fort en plein contexte inflationniste.

Mme Von der Leyen et M. Macron devraient être conscients que la pêche française couvre un tiers de nos besoins en produits de la mer.

Le gouvernement doit garantir la stabilité des prix du carburant et sauvegarder la souveraineté alimentaire de la France.

Les pêcheurs comme la filière de la Mer peuvent compter sur la détermination des élus du Rassemblement national et du groupe « Identité et Démocratie » pour défendre une politique enracinée : le localisme.

 

 

[ Communiqué de presse ] Sacrifier notre Filière Pêche, C’est Sacrifier notre Souveraineté Alimentaire !

En pleine explosion du prix des carburants, et à la veille des Assises de la Pêche et de la Mer ce jeudi à Nice, le secrétaire d’État à la Mer, Hervé Berville, vient de confirmer l’arrêt du soutien financier pour l’achat du gazole « concédé » aux pêcheurs en mars. Il cessera le 15 octobre.

C’est une véritable catastrophe pour l’ensemble de notre filière pêche. Et l’expression d’un mépris extrême.

Le carburant qui représentait 25% des coûts fixes est désormais à près de 40%.

C’est toute la filière pêche que l’on condamne !

Cette situation dramatique n’est pas le fait du hasard ou de la fatalité : elle procède des choix et décisions de l’Union européenne, de la Commission et de ce gouvernement hors-sol et soumis.

Invariablement, M. Macron et Mme Von der Leyen font payer aux Français les erreurs économiques, énergétiques et écologiques dans lesquelles ils ont fourvoyé notre pays.

Contre le saccage de notre pêche, garante d’une économie réelle et de notre autonomie alimentaire, le souverainisme, le localisme et le patriotisme doivent être au cœur de nos préoccupations et de ceux qui nous dirigent encore aujourd’hui !

Le dispositif d’aide doit non seulement être assumé et prolongé, mais augmenté afin de protéger notre souveraineté alimentaire.

 

Discours de Jordan Bardella à Strasbourg à L’occasion du bilan de la Présidente de la Commission Européenne, Mme Ursula von der Leyen

« Par votre croyance sans limite dans le village global, vous organisez le désordre de demain en acceptant une immigration de peuplement venue du Sud, qui change notre culture et notre art de vivre.

Ce temps des incertitudes nous impose un sursaut, au risque de disparaître. »

Mes pensées vont à toutes les familles, les blessés et les victimes touchés par ce terrible séisme qui vient de frapper le Maroc 🇲🇦

[ Communiqué de presse ] Nouvelle hausse du prix du Carburant : L’ État doit Intervenir et Soutenir nos Pêcheurs Français !

Covid, Brexit, directives européennes ubuesques, conflit en Ukraine et maintenant, hausse historique des carburants, la pêche traditionnelle française ne cesse d’être menacée depuis plusieurs années.

Malgré la nouvelle augmentation des coûts des carburants qui était à prévoir, le dispositif d’aides, mis en place par le gouvernement en mars 2022 pour en limiter les effets, prendra fin cet automne.

Le carburant qui plombait environ 25% du chiffre d’affaires, représente maintenant près de 40%.

L’Union des armateurs à la pêche de France (UAPF) et l’Association nationale des organisations de producteurs (ANOP) alertent depuis longtemps sur la situation catastrophique de notre filière française qui risque  progressivement et inéluctablement de disparaître !

L’Etat français doit les soutenir financièrement, prolonger et augmenter le dispositif d’aide et surtout les protéger des technocrates bruxellois et de la Commission.