Consultation sur le nom de la Région : peu de clics pour une grande claque !

Communiqué de presse de France Jamet, membre du Bureau Politique du Front National, présidente du Groupe des élus du FN et du RBM au Conseil régional de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées,

Le groupe des élus du Front National-Rassemblement Bleu Marine du Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées a toujours demandé qu’un véritable référendum sur le choix du nom de la région soit organisé comme il l’avait également exigé pour la fusion de nos deux régions à laquelle une majorité des Français était hostile.

L’exécutif socialiste l’a refusé au national comme au niveau régional. En Hollandie et au pays de Madame Delga, on n’interroge le Peuple que lorsqu’on est sûr qu’il va aller dans son propre sens…

C’est ce même mépris, ce même dédain qu’a clairement exprimé 97 % de la population en boudant cette consultation totalement désorganisée, ce « micro-trottoir » exigé par les Verts et concédé par Madame Delga.

De tout cela, nos concitoyens retiendront :

– l’absence de définition du corps électoral ;

– l’absence de transparence dans les opérations de dépouillement ;

– l’absence des élus de de l’opposition dans tout le processus, du « Comité du nom » à la « conférence de presse » de ce 16 juin 2016…

Et si l’opération n’aura cependant pas été totalement négative pour le Groupe de Presse de Monsieur Baylet, on peut considérer qu’entre la campagne financée dans la presse régionale.

 

Conseil Régional : Le Front National Héraultais en force pour la Séance Inaugurale

 

Lundi 4 janvier, s’est tenue à Toulouse la première séance plénière du conseil régional de la grande région « fusionnée » Languedoc-Roussillon Midi-Pyrénées (LRMP). Cette journée solennelle a été l’occasion de démontrer la vitalité de l’équipe frontiste de l’Hérault (où la liste de Louis Aliot a atteint 38.84%). Sur les 40 élus bleu marine que compte LRMP, 9 sont issus de notre département.

Dans un premier temps, c’est le doyen de l’assemblée, Gérard Maurin qui a assuré la présidence. Comme le veut la tradition, M. Maurin, élu de Lodève, a introduit la journée par un discours rappelant notamment que sans la fusion des deux collectivités imposée par l’Elysée, le FN, arrivé en tête en Languedoc-Roussillon, dirigerait un exécutif régional. Il a ensuite supervisé le déroulement de l’élection du nouveau président (remporté comme prévu par la gauche, majoritaire à l’échelle de la grande région).

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Myriam Roque et Quentin Lamotte, scrutatrice et secrétaire des opérations de vote

C’est ensuite Myriam Roques qui a occupé le devant de la scène en tant que scrutatrice. L’élue sétoise a surveillé les opérations de vote une bonne partie de la journée.

Enfin, France Jamet, présidente du groupe FN/RBM, s’est imposée d’emblée comme chef de file de l’opposition. Cette élue de Montpellier, militante historique du Front national, était la seule à se présenter face à Mme Delga, candidate de la gauche. Forte de son expérience au conseil régional de Languedoc-Roussillon, Mme Jamet a notamment critiqué les propos méprisants de Mme Delga à l’égard des électeurs frontistes. Elle a justifié les réticences du FN face aux premiers rapports soumis aux votes par les socialistes (et votés par « les Républicains »).

Cette première journée de débats, où l’UMP/LR et ses alliés centristes ont été inaudibles, annonce sans doute les grandes tendances de cette nouvelle assemblée : une gauche arrogante et sectaire, une « droite » fantomatique et un Front national combatif où les héraultais ont une place notable. Les électeurs patriotes du département peuvent donc compter sur le dynamisme de nos élus, unis et extrêmement motivés.

 

 

Toulouse tourne le dos à Montpellier

Communiqué de presse de France Jamet, Présidente des élus du groupe Front National au Conseil régional du Languedoc-Roussillon, Conseillère Municipale de Montpellier, Membre du Bureau Politique du FN

La nouvelle concernant le TGV Bordeaux-Toulouse est lourde de conséquences pour notre Languedoc-Roussillon.

Alors que Montpellier n’a toujours pas fait la jonction avec l’Espagne dans le cadre du couloir nord-sud voulu par l’Union Européenne (toujours en manque ou en attente de financements et de volonté politique), la décision du gouvernement de passer outre l’avis de la Cour des Comptes et faire le choix d’une nouvelle ligne TGV reliant Bordeaux à Toulouse signe définitivement la mort de la métropole Montpellier au profit de celle de Toulouse.

Non seulement Montpellier ne sera pas reliée à Toulouse par le TGV mais pour rejoindre Paris, Toulouse passera directement par Bordeaux, tournant définitivement le dos à « Montpellier 3M ».

La force centrifuge de Toulouse va donc absorber notre région et notre ancienne capitale comme elle l’a fait pour tout le reste de la région Midi-Pyrénées.

Il aura manqué aux élus, au pouvoir depuis 30 ans, non seulement du courage, de la volonté et de la lucidité mais surtout un amour vrai et désintéressé de la Nation, un respect égal pour tous nos compatriotes de Midi-Pyrénées comme ceux du Languedoc-Roussillon.

Louis Aliot, lui, n’en manque pas et il s’engage à défendre notre identité et l’équité territoriale comme le Front National l’a toujours fait.

Nous mènerons ensemble ce combat jusqu’à son terme pour que Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon puissent se faire face et œuvrer ensemble.

Non à la fusion des Régions, non aux Groupes de presse en fusion

AliotFrance Jamet, Djamel Boumaaz et Audrey Lledo soutiennent l’action de Louis Aliot, Député Français au Parlement européen, qui vient d’interpeller la Commission européenne sur la situation monopolistique du groupe de presse de Monsieur Baylet.

En effet, Louis Aliot, vice-président du Front National et Député du Grand Ouest, s’est attaché à dénoncer auprès de la Commission européenne la position monopolistique et antidémocratique du patron des PRG dont le nom a même été évoqué, ces derniers jours, en remplacement de l’ancien ministre du travail :

« Jean-Christophe Cambadélis aurait admis que le président du Parti Radical de Gauche est « quelqu’un qui commence à peser lourd » car les radicaux soutiennent le PS au Parlement et sont les seuls alliés des socialistes aux régionales

Il aurait même révélé que monsieur Baylet, à la fois patron de « La Dépêche du midi » et du « Midi Libre » devenait incontournable pour l’avenir des socialistes dans cette région et un élément important de l’hypothétique réélection de François Hollande.
Face à cet aveu et aux conditions critiquables de l’accord PS-PRG pour les élections régionales de décembre 2015, j’ai décidé d’interpeller la Commission européenne sur la situation monopolistique de ce groupe de presse en posant la question écrite suivante et de déposer une plainte :

« Le Groupe de Presse « La Dépêche du midi », par ailleurs dirigé par un Président de parti politique membre de la coalition gouvernementale en France, vient de racheter le groupe de presse « Les journaux du Midi » qui lui octroie désormais un monopole de l’information sur la presse quotidienne régionale dans plusieurs départements français.

Cette fusion est extrêmement préoccupante dans la mesure où l’information quotidienne est concentrée par un seul et même groupe de presse, bénéficiant de subventions publiques, et diffusant précisément sur les treize départements qui constituent la nouvelle entité administrative régionale, fusion des ex-régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.

Cette situation monopolistique de l’information quotidienne régionale dans ces territoires ruraux pose le problème du pluralisme de l’information et de la situation d’abus de position dominante dans un secteur sensible. La Haute Autorité de la concurrence reconnait cette position de monopole et les problèmes qui y sont liés sur l’aspect commercial et marchand, mais ne se prononce pas sur l’aspect démocratique.

Ceci est d’autant plus important que la Commission s’est souvent préoccupée de situations similaires dans les ex-pays de l’Est candidats à l’Union. »

Les Champions du Charcutage et du Saucissonnage Finiront Hachés menus

SaucissonHachéMenuBien que l’on parle encore aujourd’hui de « fusion » c’est une bien une politique de « divisions » et d’éclatement qui a été lancée par le PS et l’Ump puis mise en place par le gouvernement sans concertation, sans réflexion, sans perspective et à hautes visées électoralistes.

Ni utile ni nécessaire, cette réforme a été imposée par une classe politique à bout de souffle, complètement déconnectée de la réalité et des préoccupations de nos compatriotes.

Reconnaissons-leur au moins un talent, celui du charcutage et du saucissonnage.
Mais la charcuterie, métier artisanal reconnu au terme d’un long apprentissage, perd toute sa valeur et sa noblesse lorsqu’elle est pratiquée sans vergogne par des élus et des politiques aux abois à des fins purement électoralistes et personnelles.

Souvenons-nous bien que le but essentiel de cette « fusion » était de priver le Front National d’une région qui devait basculer et s’émanciper de l’alternance Umps aujourd’hui Républicains-PS.

Le Front National mené par Louis Aliot lors des prochaines échéances électorales s’engage comme il l’a fait dès le début à reconstruire nos territoires, à réconcilier nos identités et à garantir la parité entre Montpellier et Toulouse.

En tout état de cause, le Peuple étant souverain et hostile à 75% à cette réforme qui ne débouchera sur aucune perspective ni aucune économie (au contraire!), c’est à nos compatriotes du Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées qu’il appartiendra de choisir et de se réapproprier leur destin en s’exprimant dans les urnes au mois de décembre à l’occasion des élections régionales pour le seul mouvement qui défend leur région et l’intérêt général avant tout, le Front National.

Communiqué de Presse de France Jamet
Membre du Bureau Politique
et Présidente du Groupe des Elus Front National au Conseil Municipal et à la Métropole de Montpellier