Consultation sur le nom de la Région : peu de clics pour une grande claque !

Communiqué de presse de France Jamet, membre du Bureau Politique du Front National, présidente du Groupe des élus du FN et du RBM au Conseil régional de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées,

Le groupe des élus du Front National-Rassemblement Bleu Marine du Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées a toujours demandé qu’un véritable référendum sur le choix du nom de la région soit organisé comme il l’avait également exigé pour la fusion de nos deux régions à laquelle une majorité des Français était hostile.

L’exécutif socialiste l’a refusé au national comme au niveau régional. En Hollandie et au pays de Madame Delga, on n’interroge le Peuple que lorsqu’on est sûr qu’il va aller dans son propre sens…

C’est ce même mépris, ce même dédain qu’a clairement exprimé 97 % de la population en boudant cette consultation totalement désorganisée, ce « micro-trottoir » exigé par les Verts et concédé par Madame Delga.

De tout cela, nos concitoyens retiendront :

– l’absence de définition du corps électoral ;

– l’absence de transparence dans les opérations de dépouillement ;

– l’absence des élus de de l’opposition dans tout le processus, du « Comité du nom » à la « conférence de presse » de ce 16 juin 2016…

Et si l’opération n’aura cependant pas été totalement négative pour le Groupe de Presse de Monsieur Baylet, on peut considérer qu’entre la campagne financée dans la presse régionale.

 

Région : Seul le Front National a Défendu Montpellier

Ainsi, le 20 novembre 2015, au cours de la dernière séance plénière Conseil Régional Languedoc-Roussillon, l’exécutif socialiste a entériné le Contrat de Plan Etat Région, dont Montpellier est quasiment exclue : la Région donnera 30 M€ à Montpellier.

Pas un euro de plus.

Ce n’est ni suffisant ni légitime.

France Jamet, au nom du Front National, a été la seule à dénoncer cette scandaleuse décision simplement justifiée par des calculs électoralistes tout empreints de ressentiments et de malveillances personnelles des uns par rapport aux autres.

Alary poursuit son combat contre la Ville de Saurel qui se bat contre les services de la Région…

Et chacun de régler ses comptes entre anciens compères.

Chantage, électoralisme, égocentrisme, coups bas…

C’est un énième épisode d’une série B où la politique politicienne prend toujours le pas sur l’intérêt général.

En pleine guerre sociale, économique et territoriale, ces politicailleries doivent cesser.

Une bonne fois pour toutes.