« Par votre croyance sans limite dans le village global, vous organisez le désordre de demain en acceptant une immigration de peuplement venue du Sud, qui change notre culture et notre art de vivre.
Ce temps des incertitudes nous impose un sursaut, au risque de disparaître. »
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Suite à l’appel à manifester dimanche 25 septembre 2016 dénonçant le caractère autoritaire et unilatéral de la politique de dissémination de la jungle de Calais dans nos communes, les « maîtres de la pensée » de Facebook ont effacé autoritairement et unilatéralement l’annonce à ce motif :
« Une de vos publications enfreint nos Conditions d’utilisation. Ce message est un avertissement. Une autre infraction de votre part entraînera la résiliation de votre compte. Veuillez consulter nos Conditions d’utilisation et ne plus publier de contenus abusifs. Nous vous remercions d’avance pour votre coopération. »
Je relaie donc sur notre site cet appel à manifester en espérant que vous saurez relayer cette double information et que vous viendrez nombreux.
Samedi 12 septembre, Julien Sanchez, maire de Beaucaire, s’est rendu à la Maison de la Chimie, répondant à la convocation de Bernard Cazeneuve et Manuel Valls aux 36.000 maires de France.
Ils furent environ 600 à répondre à cet appel afin d’exposer leur slogan : « Notre commune va accueillir des réfugiés »
Lorsque Julien Sanchez s’est levé pour exposer la position de tous ceux qui refusent cette nouvelle vague migratoire imposée par l’Union Européenne, le Préfet, M. Pierre de Bousquet de Florian, censé incarner la prédominance de l’Etat, est sorti de sa fonction pour entrer dans son « rôle« , celui du sectarisme et de l’antidémocratie.
Comme le dit Robert Ménard : « La scène en dit long à la fois sur sa neutralité politique [celle de Pierre de Bousquet de Florian] mais aussi, tout simplement, sur ce qu’il est. À la lointaine époque où la noblesse régnait sur la France, on eût dit : voilà un geste déshonorant ! Aujourd’hui, dans la carrière d’un haut et puissant fonctionnaire, c’est, sans doute, une bonne note de plus… »
Le préfet qui tire le bras de Julien Sanchez, le bouscule et tente de lui arracher son discours…. C’est le Préfet du Languedoc-Roussillon, Monsieur Bousquet, représentant de l’Etat (?)