Retrouvez mon Communiqué pour le Groupe Front National de la Région Occitanie Languedoc Roussillon Midi Pyrénées, pour la Défense de notre Francophonie en Occitanie et à L’international !

Communiqué de presse de France Jamet
1e Vice-Présidente du groupe FN RBM au Conseil Régional d’Occitanie

Lors de la Commission Permanente du 13 avril 2018, la Région Occitanie a renouvelé son adhésion à l’Institut Français pour un montant de 40 000€.

L’institut Français est un opérateur chargé du rayonnement de la Culture Française à l’étranger. Sous tutelle du ministère de l’Europe et de la Culture, il s’inscrit dans une démarche « d’écoute, de partenariat et d’ouverture », avec les cultures étrangères. Toutefois, à aucun moment, il n’est fait mention de francophonie dans la convention d’adhésion entre la Région et l’Institut Français. Autrement dit, cette adhésion n’a pour finalité que de favoriser le financement de projets culturels à l’étranger et de projets culturels étrangers en France.

Assurément, comme l’affirmait l’ancien Président de la République, François Hollande, : « La francophonie et la francophilie constituent pour la France et ses partenaires francophones une opportunité économique majeure. Les enjeux sont immenses. L’ensemble des pays francophones représente 16% du PIB mondial et connaît un taux de croissance de 7%. Dans le cadre de la politique d’attractivité engagée par le président de la République, tout doit donc être mis en œuvre pour renforcer la communauté francophone dans le monde, au service d’une croissance mutuellement bénéfique.»

Le développement économique étant l’un des 4 piliers sur lequel repose la Région, c’est très logiquement que le biais d’un amendement (ci-joint) à la délibération, les élus du groupe FN-RBM ont proposé à la Présidente de Région de modifier la convention afin d’y faire apparaître, en accord avec l’Institut Français, les actions mises en place pour «la promotion de la francophonie ». La gauche et la droite ont joint leur voix pour voter contre cet amendement.

Déjà, le 16 février en Commission Permanente, lors de l’appel à projets pour l’année 2018 intitulé, « aide au co-développement international » et d’un montant de 400 000€, ils avaient refusé de voter en faveur d’une proposition des élus FN RBM pour intégrer le « développement de la francophonie ».

La cohérence politique n’est décidément pas une vertu socialiste !

France Jamet Invitée de la radio Divergence FM.

J’étais hier l’invitée de radio Divergence FM ( 93.9) pour revenir sur l’actualité française et internationale avec avec la réélection de Vladimir Poutine, les élections en Italie, le terrorisme islamiste, et mon activité au Parlement européen et au conseil régional d’Occitanie, ainsi que sur l’avenir du Front National.

Région Occitanie : Retour sur le vœu de France Jamet pour Soutenir les Filières D’élevage.

A l’heure où le monde agricole manifeste pour sa survie, il est important de rappeler que les élus du Front National travaillent quotidiennement (loin du marigot politicien) à la défense de notre indépendance alimentaire, de notre santé, de notre ruralité et donc … de nos paysans.

Conscient que la stratégie commerciale de l’UE met en danger les filières agricoles de notre région, le groupe FN-RBM avait déposé, par l’intermédiaire de sa Vice-présidente et Député français au Parlement européen, France Jamet, un vœu de soutien à l’élevage français lors du Conseil régional de décembre dernier.
En serviteurs zélés de Bruxelles, la gauche et la droite rejetèrent en bloc cette proposition, refusant ainsi de plaider la cause de nos éleveurs auprès du Gouvernement.

En matière de trahison du monde agricole, LR et PS récoltent la médaille d’or du double langage !
Les agriculteurs d’Occitanie savent désormais qui sont leurs vrais amis !

 

[ Communiqué ] Jean-Michel Baylet nommé à la Présidence de L’Union de la Presse en Région : Un retour vers 1984 et un Régime Orwellien.

Le 16 janvier dernier, l’ancien ministre de Hollande et le grand aptron de presse Jean-Michel Baylet a été élu à la tête de l’Union de la Presse en Région et du Syndicat de la Presse Quotidienne Régionale. Député, sénateur, secrétaire d’Etat, ministre, président du PRG… Monsieur Baylet est aux affaires depuis les années 70.

La position quasi-monopolistique de Monsieur Baylet sur la presse Quotidienne Régionale en Occitanie, affecte dangereusement notre liberté d’expression.

Après l’annonce du Président Macron de vouloir réguler les « Fake News », nous pouvons voir ici une nouvelle mainmise du pouvoir sur les médias d’information et la volonté d’appliquer une vérité d’Etat, sans contestation possible de la parole donnée. Contrairement à ce que semble penser le gouvernement, les Français restent capables de réfléchir par eux-mêmes et porter un regard objectif sur la situation dramatique dans laquelle est notre pays.

Il est essentiel, pour le bon fonctionnement démocratique, que le traitement de l’information et les médias soient tenus à une impartialité et une déontologie. Aucun régime ne saurait se réclamer de la démocratie sans une totale liberté de l’information.

[ Communiqué ] Carole Delga : Toujours dans L’exclusion et le déni.

Madame DELGA, comme à son habitude, a profité des cérémonies des vœux pour mener une énième action de communication. Elle déclare ainsi ne pas accepter « de voir les inégalités s’accroître et le populisme s’installer durablement en Occitanie », visant à demi-mot la progression du Front National dans notre région.
Si l’on peut se féliciter qu’elle admette enfin que le Front National, seule force d’opposition au Conseil régional, est une force politique majeure en Occitanie, on ne peut que déplorer une fois de plus la démagogie insipide de Madame DELGA.

Qui d’autre qu’elle et ses prédécesseurs socialistes ont provoqué les inégalités entre les territoires en portant le maximum de son action sur le Midi-Pyrénées au détriment du Languedoc Roussillon ? En termes de tourisme, de développement agricole, de transport, nous n’avons cessé de dénoncer le traitement de faveur accordée à l’ancienne région de Madame la présidente. Inégalités également entre les citoyens français et les nouveaux arrivants. Quand dans le budget 2018, les fonds alloués à l’accueil des migrants ne cessent de se multiplier, ce sont aux travailleurs et automobilistes français que l’on demande de faire des efforts en augmentant considérablement la taxe sur la carte grise.

Tout cela pour des résultats catastrophiques avec un chômage qui ne cesse d’augmenter (+2.9% sur les 12 derniers mois) malgré les mensonges de Madame DELGA à ce sujet. Un endettement qui atteint des niveaux historiques, et une région au bord de l’étouffement financier. Quant à la LGV, nous nous dirigeons de plus en plus vers une fin de non-recevoir de la part de l’État. Enfin, pour l’alimentation, grande cause régionale, nous attendons toujours des mesures fortes contre le CETA, qui menace dangereusement nos filières agricoles et notre alimentation.

Ce que Madame DELGA appelle du populisme, ce n’est que le triste constat d’une réalité qu’elle a provoqué. Ce n’est que la parole juste et sincère d’élus de terrain qui ne supportent plus de voir leurs concitoyens souffrir des arrangements d’une classe politique aux affaires depuis toujours. Nous, madame DELGA, nous ne menons pas une politique populiste, mais une politique populaire.

Ne lui en déplaise, le Front National s’installe, progresse et s’implante sur le territoire et continuera à dénoncer les abus et les déviances d’une politique socialo-communiste généreuse avec les autres, contraignante avec les nôtres.