Julien Sanchez, maire de Beaucaire, élu du Peuple, Bousculé par le Préfet de Région

Samedi 12 septembre, Julien Sanchez, maire de Beaucaire, s’est rendu à la Maison de la Chimie, répondant à la convocation de Bernard Cazeneuve et Manuel Valls aux 36.000 maires de France.

Ils furent environ 600 à répondre à cet appel afin d’exposer leur slogan : « Notre commune va accueillir des réfugiés »

Lorsque Julien Sanchez s’est levé pour exposer la position de tous ceux qui refusent cette nouvelle vague migratoire imposée par l’Union Européenne, le Préfet, M. Pierre de Bousquet de Florian, censé incarner la prédominance de l’Etat, est sorti de sa fonction pour entrer dans son « rôle« , celui du sectarisme et de l’antidémocratie.

Comme le dit Robert Ménard : « La scène en dit long à la fois sur sa neutralité politique [celle de Pierre de Bousquet de Florian] mais aussi, tout simplement, sur ce qu’il est. À la lointaine époque où la noblesse régnait sur la France, on eût dit : voilà un geste déshonorant ! Aujourd’hui, dans la carrière d’un haut et puissant fonctionnaire, c’est, sans doute, une bonne note de plus… »

 

Le préfet qui tire le bras de Julien Sanchez, le bouscule et tente de lui arracher son discours…. C’est le Préfet du Languedoc-Roussillon, Monsieur Bousquet, représentant de l’Etat (?)

Non à la Charte des Langues Régionales ET Minoritaires

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 (3) France Jamet est intervenue à propos du rapport 3 intitulé « Soutien à la langue occitane ». Il incluait notamment des aides et soutiens aux calandretes mais surtout demandait aux élus du conseil municipal de faire pression sur l’Etat afin qu’il signe « enfin la Charte Européenne des Langues Régionales ET minoritaires ».

Le Front National a redit son attachement à la langue occitane en tant que tradition culturelle mais rejeté le soutien à cette fameuse Charte que tente de nous imposer l’Union Européenne et que le Conseil Constitutionnel a déjà refusée. Le rapport 3 portait sur plusieurs points :

  • Il s’agissait d’adopter les orientations de la ville en soutien à l’occitan notamment à diverses manifestations associatives et calendretes,
  • Mais il s’agissait surtout de « demander à l’Etat de ratifier la Charte Européenne des Langues Régionales ET minoritaires » que la France n’a pas encore signée. Ajoutant même que la France doit s’engager dans la défense de ses langues minoritaires.

France Jamet a d’abord mis en garde à ce que cette défense ne s’oppose pas à l’unité nationale. Il est ainsi séduisant de créer dès la maternelle un cursus français-occitan mais elle a rappelé qu’il ne fallait pas non plus oublier de conforter les cursus français-français puisque nos enfants maîtrisent de moins en moins notre langue nationale.

Elle a rappelé la décision du Conseil Constitutionnel du 15 juin 1999 qui refusait  « au nom de l’unicité et de l’indivisibilité de la République et de l’usage exclusif du français par les autorités administratives et des services publics » alors même que Monsieur Barral voulait  « la gommer pour permettre à la Charte européenne de s’imposer », puis l’Ordonnance de Villers-Côterêts du 10 août 1539.

Outre le danger de cette fragmentation de la nation par un « régionalisme politique », la Charte tend surtout à favoriser le communautarisme en amenant l’officialisation des « langues d’origine » au nom d’une idéologie multiculturaliste qui se justifiera plus encore demain par une immigration massive que plus personne ne peut nier.

Le Front National a redit son opposition à la dislocation de la France voulue par Bruxelles et demandé un vote par division afin de ne pas faire l’amalgame entre le soutien à la langue occitane et la Charte de Bruxelles.   En réponse, M. Barral a d’abord noyé le poisson en développant le sujet des calendretes à laquelle il a tenté d’amalgamer notre hostilité à la Charte Européenne des Langues régionales et minoritaires.

Puis il a expliqué que le principe d’une « nationalité qui exclut les autres nationalités » n’était pas pris en compte « actuellement » par la collectivité municipale actant ainsi non pas le « régionalisme occitan » mais bien un « nationalisme occitan ». Puis il s’est largement emmêlé les pinceaux avec sa vision, celle de l’Union Européenne et le texte défendant « une politique linguistique cohérente et volontariste sur l’ensemble de l’Espace d’Oc ». Comprenne qui pourra.

L’esprit (de la loi) et les conséquences de ce texte n’étaient ni clairs ni assumés…   Comme d’habitude, les premières invectives sont venues de l’Ump, dociles soutiens de la majorité (notamment et comme à son habitude, de la part de l’élu dit « le Républicain » Dumont qui refuse systématiquement de chanter la Marseillaise en début de séance, s’emmurant dans un mutisme de rigueur, lèvres pincées et bras croisés…)

Puis des noms d’oiseaux et cris d’exaspération ont fusé ensuite du côté de la majorité de gauche de Monsieur Saurel qui nous a finalement refusé un vote par division…Non sans avoir conclu avec une large dissertation hors sujet sur l’occitan, niant ainsi les effets de la Charte Européenne sur notre identité et nos traditions.

Vivement Marine, avant que l’Histoire nous donne encore raison…

L'Histoire nous donne encore raison

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 (2)

Djamel Boumaaz est intervenu sur l’audit effectué sur quelques associations de Montpellier afin de savoir comment l’argent public était dépensé et à qui il était adressé. Ce rapport qui porte seulement sur 10% des associations laisse imaginer ce qu’il peut se passer dans les 90% restantes.

Quelques exemples :

– Des locaux mis à disposition dont les serrures ont été changées ;

– Une salle de jeux abritée sous couvert d’activité associative ;

– Bar, restaurants, Association fantôme…

Pour un montant de 3 millions d’euros (seulement en avantage en nature).

S’il est certain que le travail des associations est important et qu’elles sont animées souvent par des bénévoles, des femmes et des hommes de bonnes volontés désintéressés et sincères, il n’en demeure pas moins qu’elles se révèlent être une manne fructifiante pour d’autres…

Notre groupe n’a jamais manqué de relever ces gabegies et cette injustice faite à nos concitoyens qui financent à fonds perdus sans que les élus en charge de la gestion de l’argent public ne prennent la mesure ni la peine (jusqu’à maintenant) d’y mettre le holà.

Nous avons soutenu la création d’une convention avec une partie « clauses particulières » et dénoncé un clientélisme qui n’est même plus implicite mais explicite. Nous avons encore une fois demandé plus de transparence.

Il aura malheureusement fallu que l’heure des règlements de comptes personnels ait sonné pour voir enfin aboutir nos demandes et transparaître quelques cruelles vérités.

Aux âmes outrées et en réponse aux quolibets qui accompagnaient chaque fois nos votes de défiance à l’égard des millions dépensés (16 millions votés en février 2015) et des avantages accordés à une foultitude d’associations sans que jamais nous n’ayons pu obtenir des précisions sur l’objet et le fonctionnement de 99% de ces associations… Djamel Boumaaz a tenu à mettre les points sur les I

Par le petit trou de la Lorgnette

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 (1)

Ce conseil municipal a battu un petit record : près de 6 heures 30 de débats majoritairement animés par le Groupe d’opposition du Front National. Enfin, débats… après une heure d’interventions diverses sur l’actualité, et plus d’une heure d’un rapport d’audit (que nous avions pris la peine de lire, contrairement à d’autres…), les dossiers ont été enfin abordés.

Préalablement, le Maire a tenu à lancer un débat à propos de l’annonce de la ligne TGV Toulouse-Bordeaux qui a été décidée, une nouvelle fois, arbitrairement par Paris, au détriment de la ligne Toulouse-Narbonne, qui aurait permis à nos deux capitales liées par le gouvernement socialiste, d’être reliées et d’œuvrer ensemble à l’essor de nos territoires (cf infra : Toulouse tourne le dos à Montpellier).

Cette nouvelle plombe très certainement les espoirs légitimes des acteurs économiques de notre région, mais n’entame en rien l’optimisme béat de M. Saurel qui continue néanmoins de « soutenir le gouvernement sur cette réforme ».

D’autant plus qu’il n’aura échappé à personne que cette tactique est essentiellement électoraliste. Le pouvoir socialiste s’applique ainsi à soutenir la campagne de Madame Delga qui est déjà plombée depuis le début (foire d’empoigne pour obtenir des avantages et titres de part et d’autres de sa liste) et s’enlise dans sa méconnaissance de notre région, de ses dossiers et l’absence de programme.

A ceux qui regardent par le petit trou de la lorgnette pour projeter l’avenir de notre région et portent le sujet de la campagne sur « LE nouveau nom » de notre future région, France Jamet a apporté quelques arguments concernant la ligne TGV et la LNMP (lire Ligne Nouvelle de Montpellier Perpignan) dont on parle depuis 30 ans et dont le dernier tronçon et encore à l’étude… après plus de 30 ans d’impéritie et d’inertie.

Aux Côtés de Julien Léonardelli, France Jamet est allée Soutenir la Campagne de Louis Aliot

FN 31 02_leonardelli_jamet_frontnational_plaisancedutouchC’est en tant que Présidente du groupe “Front National” au Conseil régional de Languedoc-Roussillon, que France Jamet a accompagnéJulien Leonardelli, secrétaire départemental du Front National de la Haute-Garonne, dans sa campagne de terrain pour soutenir la candidature de Louis Aliot aux élections régionales en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.

 

Ils sont ainsi allés à la rencontre de plusieurs membres du Collectif citoyen contre le projet de Zone Commerciale à Val Tolosa de Plaisance du Touch.

 

Ils ont ensuite effectué une tournée des commerçants de Tournefeuille, en compagnie de Michèle Pellizzon, conseillère municipale du Front National et du Rassemblement Bleu Marine sur la commune.

 

Sachez que l’accueil réservé à nos cadres frontistes fut chaque fois courtois et souvent très, très chaleureux…

 

Enfin, la journée s’est terminé par une réunion publique de soutien à Louis Aliot, à Plaisance du Touch, en présence d’une cinquantaine de partisans patriotes.FN 31 01_leonardelli_jamet_val_tolosa-1024x768

 

Toulouse tourne le dos à Montpellier

Communiqué de presse de France Jamet, Présidente des élus du groupe Front National au Conseil régional du Languedoc-Roussillon, Conseillère Municipale de Montpellier, Membre du Bureau Politique du FN

La nouvelle concernant le TGV Bordeaux-Toulouse est lourde de conséquences pour notre Languedoc-Roussillon.

Alors que Montpellier n’a toujours pas fait la jonction avec l’Espagne dans le cadre du couloir nord-sud voulu par l’Union Européenne (toujours en manque ou en attente de financements et de volonté politique), la décision du gouvernement de passer outre l’avis de la Cour des Comptes et faire le choix d’une nouvelle ligne TGV reliant Bordeaux à Toulouse signe définitivement la mort de la métropole Montpellier au profit de celle de Toulouse.

Non seulement Montpellier ne sera pas reliée à Toulouse par le TGV mais pour rejoindre Paris, Toulouse passera directement par Bordeaux, tournant définitivement le dos à « Montpellier 3M ».

La force centrifuge de Toulouse va donc absorber notre région et notre ancienne capitale comme elle l’a fait pour tout le reste de la région Midi-Pyrénées.

Il aura manqué aux élus, au pouvoir depuis 30 ans, non seulement du courage, de la volonté et de la lucidité mais surtout un amour vrai et désintéressé de la Nation, un respect égal pour tous nos compatriotes de Midi-Pyrénées comme ceux du Languedoc-Roussillon.

Louis Aliot, lui, n’en manque pas et il s’engage à défendre notre identité et l’équité territoriale comme le Front National l’a toujours fait.

Nous mènerons ensemble ce combat jusqu’à son terme pour que Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon puissent se faire face et œuvrer ensemble.

Il court, il court le Furet…

Dans une semaine, le conseil de Métropole va faire sa rentrée.

Nous avons eu peu d’actualité à nous mettre sous la dent ces dernières semaines.

Nous devrons reparler bien sûr des intempéries et de l’impéritie de nos politiques, mais peu de commentaires restent à faire sur leur activité, en tous cas localement.

Ah si ! Nous avons vu pendant tout l’été, tout ce mois de septembre (il l’annonce) et nous verrons vraisemblablement jusqu’en octobre (il l’espère), notre « ex-maire-à-plein-temps » et Président de « Montpellier 3M» battre la campagne pour ses propres Régionales.

Il courait, il courait le candidat-à-plein-temps.

Il est passé par ici, il repassera par là…

Il était partout et nulle part le furet du bois joli.

En tous les cas très loin de vos préoccupations et de vos soucis de rentrée.

Très loin aussi de Montpellier… et de sa Métropole.

Régionales 2015 sur TVSud : Pour le Candidat FN Louis Aliot, "Reynié Défend tout ce que la gauche a Défendu"

Conférence de presse de Louis Aliot le 18 septembre 2015 avec France Jamet, présidente de groupe FN à la Région Languedoc-Roussillon et Gérard Prato, Secrétaire départemental de l’Hérault – Reportage de TV Sud Par Marlène Meck

Après Toulouse, ce lundi, c’est à Montpellier que Louis Aliot a lancé sa campagne aux élections régionales, ce vendredi 18 septembre 2015. Le candidat Front national à la présidence de la future grande région Languedoc-Roussillon – Midi-Pyrénées espère rassembler 30% des électeurs derrière lui au soir du premier tour. Le programme reste à définir mais d’ores et déjà le vice-président du FN vise un double objectif politique : ravir la Région au Parti socialiste et séduire les électeurs des Républicains, aux dépens notamment de la tête de liste Dominique Reynié.

La liste départementale de l’Hérault sera menée par le binôme Gérard Prato – France Jamet. La présidente du groupe FN au Conseil régional Languedoc-Roussillon apportant son expérience et le nouveau secrétaire départemental sa fraîcheur. Reste à savoir qui sera tête de liste, l’investiture par le bureau national étant prévue le 21 septembre 2015. Quant au maire de Béziers, Robert Ménard, il fait partie du dispositif de campagne mais ne sera pas candidat.

Deux meetings sont prévus lors de cette campagne électorale, le premier à Nîmes, le 2 décembre prochain, en présence de Marine Le Pen et un second à Toulouse.