Région Occitanie : Retour sur le vœu de France Jamet pour Soutenir les Filières D’élevage.

A l’heure où le monde agricole manifeste pour sa survie, il est important de rappeler que les élus du Front National travaillent quotidiennement (loin du marigot politicien) à la défense de notre indépendance alimentaire, de notre santé, de notre ruralité et donc … de nos paysans.

Conscient que la stratégie commerciale de l’UE met en danger les filières agricoles de notre région, le groupe FN-RBM avait déposé, par l’intermédiaire de sa Vice-présidente et Député français au Parlement européen, France Jamet, un vœu de soutien à l’élevage français lors du Conseil régional de décembre dernier.
En serviteurs zélés de Bruxelles, la gauche et la droite rejetèrent en bloc cette proposition, refusant ainsi de plaider la cause de nos éleveurs auprès du Gouvernement.

En matière de trahison du monde agricole, LR et PS récoltent la médaille d’or du double langage !
Les agriculteurs d’Occitanie savent désormais qui sont leurs vrais amis !

 

France Jamet sur les Traités de Libre-échange.

📽La semaine dernière notre ami Edouard Ferrand nous quittait, nous poursuivrons son combat en faveur de nos agriculteurs, nos pécheurs, nos petits producteurs contre les traités de libre-échange et notamment le Mercosur, qui va couter des milliers d’emplois à la France !

[ Communiqué de Nicolas bay et France Jamet ] Accord UE-Mercosur : le Revirement D’Emmanuel Macron est un coup de Poignard pour nos Agriculteurs !

Le renoncement du président de la République au sujet de l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et les pays sud-américains du Mercosur constitue un véritable coup de poignard pour nos agriculteurs et nos éleveurs. En effet, Emmanuel Macron vient de demander à la Commission européenne d’accélérer le processus de négociation avec les pays du Mercosur pour arriver à un accord de libre-échange rapide. La trahison pour nos agriculteurs est double, car elle intervient juste au moment où l’UE a cédé face aux pressions des pays sud-américains et a accepté de hausser jusqu’à quelque 100 000 tonnes annuelles, l’importation de viande bovine issue d’élevages d’Amérique latine, tout en ouvrant un contingent pour le sucre qui s’ajouterait à celui concernant l’éthanol.

Le président Macron, habitué à jouer sur tous les tableaux sans vraiment afficher de position claire, est celui qui a demandé à la Commission européenne d’accélérer le processus de négociation pour arriver à un accord rapide. Le même Macron qui demandait, en octobre dernier lors des États généraux de l’alimentation, une « pause » dans les négociations…

Ce sont des dizaines de milliers d’emplois qui seraient affectés selon les études des syndicats de professionnels, sans parler du risque sanitaire pour les consommateurs, puisque les bovins sud-américains sont essentiellement nourris à base d’OGM et que les éleveurs ont massivement recours aux antibiotiques. Tout cela pour satisfaire les multinationales et dans une logique hyper-productiviste et mercantile.

Depuis le début, seuls les élus du Front National au Parlement européen se sont mobilisés contre ces traités. Ils ont alerté les Français, ils ont voté contre ces mandats de négociation, ont dénoncé cette grave atteinte à la souveraineté économique des Nations et la concurrence déloyale qui en résulterait. À l’inverse des élus LR ou PS, qui n’ont constitué qu’une opposition de façade, nous proposions le retour à une politique agricole française et un protectionnisme intelligent, unique solution viable et efficace contre la logique du libre-échange sans-frontières.

[ Communiqué ] Jean-Michel Baylet nommé à la Présidence de L’Union de la Presse en Région : Un retour vers 1984 et un Régime Orwellien.

Le 16 janvier dernier, l’ancien ministre de Hollande et le grand aptron de presse Jean-Michel Baylet a été élu à la tête de l’Union de la Presse en Région et du Syndicat de la Presse Quotidienne Régionale. Député, sénateur, secrétaire d’Etat, ministre, président du PRG… Monsieur Baylet est aux affaires depuis les années 70.

La position quasi-monopolistique de Monsieur Baylet sur la presse Quotidienne Régionale en Occitanie, affecte dangereusement notre liberté d’expression.

Après l’annonce du Président Macron de vouloir réguler les « Fake News », nous pouvons voir ici une nouvelle mainmise du pouvoir sur les médias d’information et la volonté d’appliquer une vérité d’Etat, sans contestation possible de la parole donnée. Contrairement à ce que semble penser le gouvernement, les Français restent capables de réfléchir par eux-mêmes et porter un regard objectif sur la situation dramatique dans laquelle est notre pays.

Il est essentiel, pour le bon fonctionnement démocratique, que le traitement de l’information et les médias soient tenus à une impartialité et une déontologie. Aucun régime ne saurait se réclamer de la démocratie sans une totale liberté de l’information.

[ Communiqué ] Carole Delga : Toujours dans L’exclusion et le déni.

Madame DELGA, comme à son habitude, a profité des cérémonies des vœux pour mener une énième action de communication. Elle déclare ainsi ne pas accepter « de voir les inégalités s’accroître et le populisme s’installer durablement en Occitanie », visant à demi-mot la progression du Front National dans notre région.
Si l’on peut se féliciter qu’elle admette enfin que le Front National, seule force d’opposition au Conseil régional, est une force politique majeure en Occitanie, on ne peut que déplorer une fois de plus la démagogie insipide de Madame DELGA.

Qui d’autre qu’elle et ses prédécesseurs socialistes ont provoqué les inégalités entre les territoires en portant le maximum de son action sur le Midi-Pyrénées au détriment du Languedoc Roussillon ? En termes de tourisme, de développement agricole, de transport, nous n’avons cessé de dénoncer le traitement de faveur accordée à l’ancienne région de Madame la présidente. Inégalités également entre les citoyens français et les nouveaux arrivants. Quand dans le budget 2018, les fonds alloués à l’accueil des migrants ne cessent de se multiplier, ce sont aux travailleurs et automobilistes français que l’on demande de faire des efforts en augmentant considérablement la taxe sur la carte grise.

Tout cela pour des résultats catastrophiques avec un chômage qui ne cesse d’augmenter (+2.9% sur les 12 derniers mois) malgré les mensonges de Madame DELGA à ce sujet. Un endettement qui atteint des niveaux historiques, et une région au bord de l’étouffement financier. Quant à la LGV, nous nous dirigeons de plus en plus vers une fin de non-recevoir de la part de l’État. Enfin, pour l’alimentation, grande cause régionale, nous attendons toujours des mesures fortes contre le CETA, qui menace dangereusement nos filières agricoles et notre alimentation.

Ce que Madame DELGA appelle du populisme, ce n’est que le triste constat d’une réalité qu’elle a provoqué. Ce n’est que la parole juste et sincère d’élus de terrain qui ne supportent plus de voir leurs concitoyens souffrir des arrangements d’une classe politique aux affaires depuis toujours. Nous, madame DELGA, nous ne menons pas une politique populiste, mais une politique populaire.

Ne lui en déplaise, le Front National s’installe, progresse et s’implante sur le territoire et continuera à dénoncer les abus et les déviances d’une politique socialo-communiste généreuse avec les autres, contraignante avec les nôtres.