Lors de la visite de Marion Maréchal Le Pen en Soutien à Robert Ménard, Candidat aux Municipales de Béziers…

J’étais bien évidemment présente lors de la venue de Marion Maréchal Le Pen pour le meeting de soutien à Robert Ménard, candidat aux élections municipales de Béziers vendredi dernier.

J’ai été très heureuse de retrouver Marion et Robert autour d’un verre avant de partir pour le Palais des Congrès de Béziers où avait lieu la réunion publique  ce vendredi 13 décembre 2013.

Plus de 600 personnes y attendaient l’invitée du jour qui les a gratifié d’une présentation de l’actualité du moment et des objectifs du Front National et du Rassemblement Bleu Marine pour les prochaines échéances électorales précédé d’un mot d’accueil de Robert Ménard, le local de l’étape.

Robert Ménard, France Jamet et Marion Maréchal Le Pen le vendredi 13 décembre 2013 à Béziers (34).
Robert Ménard, France Jamet et Marion Maréchal Le Pen le vendredi 13 décembre 2013 à Béziers (34).

Nous souhaitons bonne chance à Robert Ménard et son équipe et lui renouvelons notre soutien et notre confiance convaincus que les Bittérois ne se tromperont pas au moment de voter les 23 et 30 mars prochain.

 

Participation de France Jamet à la Manif pour Tous Dimanche 15 Décembre 2013 à Montpellier…

Il est précisé dans le Midi Libre de ce jour, qu’aucun élu ou représentant politique n’était présent à cette manifestation hormis France Jamet pour le Front National.

Des absences remarquées qui posent bien des questions sur la véritable opposition à la Gauche de la part de l’UMP à Montpellier.

Il est vrai, que Jacques Domergue, candidat UMP à la mairie, aurait été mieux inspiré de venir défendre les valeurs de la famille plutôt que de tenir le ruban tricolore, dés lors plus très républicain ni très laïc, à Hélène Mandroux, Maire PS sortante de Montpellier, et Jean-Pierre Moure, Président PS de l’Agglo et candidat PS à la Mairie, mais loin encore d’y entrer.

Ces derniers semblaient être plus préoccupés à entretenir communautarisme et clientélisme, les deux mamelles indissociables du socialisme local, lors de l’inauguration de la Mosquée de l’Union dans le quartier des Cévennes.

Qu’en-est-il de la loi de 1905 et de la laïcité républicaine prônée à tort et souvent de travers ? Pour l’UMPS, elle s’arrête aux portes des élections, les habitudes ayant la vie dure !

Cependant, nous saluons l’absence non remarquée de Philippe Saurel, autre candidat socialiste mais en dissidence à la mairie de Montpellier qui, a eu lui, la décence de ne pas participer à cette opération électoraliste.

Il aurait été aussi plus inspiré de participer à la Manif pour Tous afin d’être plus en phase avec les valeurs qui sont les siennes et qu’il défend si bien dans un autre engagement…

Quoi qu’il en soit, les Montpelliérains soucieux de l’avenir de leur famille ont accueilli France Jamet et son équipe très chaleureusement, et l’ont remercié pour sa participation et son soutien.

Gageons qu’ils s’en souviendront au moment de voter !

Municipales – Montpellier : le fiasco Mandroux…

Après avoir travaillé des années dans l’ombre de Georges Frêche, la maire de Montpellier a été évincée par le Premier ministre en personne.

Cela faisait bien longtemps que Jean-Marc Ayrault ne s’était occupé lui-même des affaires du Parti socialiste. Le 3 décembre, un mardi, il s’y est collé. Le Premier ministre est alors à Montpellier pour un grand raout sur la mer. Dans les couloirs du Corum, le centre des congrès montpelliérain, les journalistes le questionnent sur un sujet qui n’a rien à voir avec sa venue : l’avenir de la maire, Hélène Mandroux, qui n’a toujours pas dit si, oui ou non, elle briguait un nouveau mandat. Le nez dans les micros, Jean-Marc Ayrault éclaire enfin leur lanterne avec une précision inhabituelle. Qu’on en juge : « Hélène Mandroux a décidé de ne pas se représenter. C’est son choix. Je le respecte. Par ailleurs, elle n’a pas envie de rester inactive. Elle annoncera dans quelques jours, conjointement avec moi, la mission que j’ai décidé de lui confier. » Harlem Désir, le patron du PS, n’aurait pas fait mieux.

Hélène Mandroux n’a plus rien à annoncer aux Montpelliérains. Le soir même, vers 18 heures, elle se fend tout de même d’un communiqué un peu piteux pour confirmer son retrait. Le plus cocasse, c’est que la maire de Montpellier avait très envie de conserver son fauteuil. Mais, à la différence d’une Martine Aubry à Lille, d’un Bertrand Delanoë à Paris ou d’un Gérard Collomb à Lyon, elle est toujours fragile, même après une dizaine d’années de mandat. Très tôt, trois rivaux socialistes guignent sa place. Hélène Mandroux ne s’affole pas. Elle pense qu’elle s’imposera parce qu’elle est la maire sortante, la plus rassembleuse, la plus capable, la légitime…

« Tu as 73 ans, n’y pense pas… »

Et puis elle est sûre que la Rue de Solférino la soutiendra pour services rendus. N’a-t-elle pas, en 2010, accepté, à la demande de Martine Aubry, d’être la candidate du PS aux régionales face à Georges Frêche, accusé d’avoir insulté Laurent Fabius – souvenez-vous, la fameuse « tronche pas catholique » ? Contre la promesse, raconte un proche, d’un ministère à la Santé, elle avait accepté le combat. Hélène Mandroux était partie au front, sûre de perdre, mais décidée, par cet acte, à gagner le respect des Montpelliérains. C’est un fiasco : un peu plus de 7 % aux régionales, à peine plus de 10 % pour la ville de Montpellier. Frêche gagne par K.-O., avec 54,19 % des voix.

Le sacrifice d’Hélène Mandroux est donc vain : trois ans après, la Rue de Solférino ne compte pas solder les comptes en la reconduisant comme seule candidate. Au contraire, le Parti socialiste organise une primaire. Elle refuse d’y participer. Il est vrai que, en piètre politique, Hélène Mandroux n’a pas vraiment de réseau au sein du PS local. Face à elle, Jean-Pierre Moure, le président de la communauté d’agglomération de Montpellier, avance avec des bataillons d’anciens frêchistes. La défaite est inéluctable.

Plutôt que de faire campagne à Montpellier, Hélène Mandroux multiplie les voyages à Paris. Elle voit Jean-Marc Ayrault, sollicite François Hollande, rencontre Alain Fontanel, le conseiller politique de Harlem Désir. Devant chacun elle plaide sa cause (être désignée candidate), mais rencontre un mur. « Tu as 73 ans, n’y pense pas… », lui répond Fontanel. « Tu te rends compte, alors que j’ai 12 de tension, comme une jeune fille ! » confie à un ami cette menue grand-mère, qui mange comme un oiseau et se moule dans des jeans de midinette. On lui fait miroiter le Sénat, elle refuse. À la place, elle propose à Philippe Saurel, l’un des trois candidats socialistes, de faire équipe avec lui avant de lui laisser son fauteuil de maire en 2015. Rien n’y fait.

« C’est elle que je veux ! »

Alors, elle s’enferme dans le silence, boude le PS et regarde Moure gagner la primaire, à l’automne. Un temps, Mandroux laisse planer le doute : elle se présentera peut-être en dissidente à la mairie. Elle n’en fait rien. Ne décide rien. Jean-Marc Ayrault le fait pour elle.

Hélène Mandroux s’est souvent laissé porter. C’est son caractère : parfois cassante avec le petit personnel de la mairie, elle est surtout une femme discrète (elle a connu plusieurs deuils familiaux mais n’en parle jamais), un peu timide, un peu velléitaire aussi. L’exact contraire de Georges Frêche : lui décidait avant de discuter, elle cherche sans fin des arrangements. « Avec elle, c’est toujours le dernier qui parle qui a raison ! » regrette un ex-conseiller. Frêche prenait encore moins de gants pour railler cette femme sous influence : « Elle ne sait pas gouverner seule, elle est sous l’emprise de clans. » Le chirurgien Francis Navarro, un très proche, passe pour être devenu son gourou.

Madame la maire de Montpellier n’a même pas choisi d’entrer en politique ; c’est la politique qui l’a choisie. Un soir, au début des années 80, André Vézinhet, figure socialiste de l’Hérault, organise chez lui un dîner avec Georges Frêche et le couple Colas. Le mari est un homme brillant, que Frêche pourrait enrôler sur sa liste aux municipales de 1983, l’épouse (de son nom de jeune fille Mandroux) est plutôt une femme réservée. À la fin du repas, au cours duquel le mari a déployé tout son charme, Frêche lâche son verdict : « C’est elle que je veux ! » À l’époque, il a besoin de médecins sur sa liste, mais aussi de personnalités en mal de reconnaissance. C’est le cas d’Hélène Mandroux, issue d’un milieu social modeste, qui s’en est sortie en devenant médecin généraliste. D’autres diront que Frêche mise surtout sur des colistiers qui ne lui feront pas trop d’ombre…

Durant les premières années à la mairie, le tandem fonctionne bien. Devenue maire en 2004 (Georges Frêche est élu président de région), Hélène Mandroux applique docilement le programme de son prédécesseur. L’air de rien, elle prend un peu de distance, mais Frêche, patron de l’agglomération, garde les rênes courtes : « Le pouvoir à l’agglo, c’est moi, la broderie et les nids-de-poule, c’est elle. » Aux municipales de 2008, Frêche compose lui-même la liste. Elle est réélue, mais doit composer avec une majorité au sein de laquelle elle est… minoritaire.

« Mandroux ? Couic ! »

Les rapports avec Georges Frêche tournent alors à l’orage, parce qu’elle s’émancipe de plus en plus. En public, il la traite de « conne ». Et lorsqu’elle ose défier le grand homme aux régionales, c’est la haine. À l’évocation du nom de la félonne, Frêche fait mine de se trancher la gorge avec le pouce, accompagnant ce geste vif d’une menace : « Mandroux ? Couic ! » Une scène déclenche la guerre : quelques jours après les régionales, Frêche entre avec retard dans la salle du conseil municipal présidé par Hélène Mandroux. Théâtral, il prend la parole, tonitruant : « Nous réglerons notre différend un jour. La vie est longue, je suis patient, j’attendrai ce qu’il faut. » Mandroux fuit le combat. « Je ne veux pas polémiquer », répond-elle.

Georges Frêche n’a pas pu attendre. Sa mort, en octobre 2010, libère Hélène Mandroux. C’est en tout cas ce que pensent les Montpelliérains. « Pour elle, le champ est libre », observe l’un de ses anciens directeurs de cabinet. Les réseaux frêchistes sont à prendre, les sections du PS, à conquérir, les élus socialistes, à charmer. À la différence de Jean-Pierre Moure, qui s’allie les orphelins de Frêche, elle ne s’intéresse à rien de tout ça. La cuisine électorale, très peu pour elle. Encore une fois, Mandroux pèche par manque de jugement politique.

Elle préfère se consacrer à sa ville, ce qui est sans doute tout à son honneur. Mais, là encore, elle multiplie les maladresses : connue pour ses retards (elle s’est même fait insulter un 31 décembre lors d’une cérémonie de voeux en plein air par des Montpelliérains excédés), Hélène Mandroux néglige les visites sur le terrain, décale sans cesse ses rendez-vous, improvise des discours sans talent, change souvent de collaborateurs (elle a épuisé cinq directeurs de cabinet…). Au congrès de Toulouse du PS, elle a misé sur le mauvais cheval et, aux dernières législatives, n’a soutenu aucun candidat. En échange d’une vague mission sur la santé confiée par Jean-Marc Ayrault, elle doit désormais soutenir Jean-Pierre Moure, le dauphin de celui qui avait juré sa perte.

Source Le Point.fr

Montpellier : Scandaleux ! Le Premier Ministre Utilise les moyens de L'Etat et L'argent public pour Régler des Affaires Internes au Parti Socialiste…

Communiqué de Louis Aliot, Conseiller régional Languedoc-Roussillon et Vice-président du Front National.

Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault a annoncé hier à Montpellier, que la maire PS Hélène Mandroux avait « décidé de ne pas se représenter aux prochaines élections municipales » et qu’il lui confiait une mission d’État sur la santé.

La vérité est toute autre puisque madame Mandroux était en opposition directe avec la direction du PS concernant le choix de la tête de liste montpelliéraine et avait menacé de mener une liste dissidente.

Comme le révèle la presse, reçue récemment à Matignon, Jean-Marc Ayrault lui avait proposé une mission nationale sur la santé, à condition, chose extravagante, qu’elle fasse preuve de neutralité !

Après les annonces tonitruantes et intéressées de Marseille et de Paris, le Premier ministre vole au secours du PS en achetant les silences des uns et la neutralité des autres par l’intermédiaire de missions d’État payées par les impôts des contribuables ! C’est une honte et un scandale !

Il est désormais évident que l’État socialiste le plus impopulaire de l’histoire de la Ve est prêt à utiliser tous les moyens, même les plus condamnables, pour sauver ses amis, ses places et ses prébendes.

Source Nations Presse Info