Le Numéro 1 du "Midi Patriote" arrive

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Il arrive dans nos boîtes aux lettres en ce moment.

On y découvre quelques chiffres et bilans de ceux qui ont mené notre région dans la situation calamiteuse qui est la nôtre aujourd’hui, saupoudrée de clientélisme, de gaspillage et tout empreinte d’incompétence.
A gauche comme à droite…

Louis Aliot,

un candidat enraciné, lucide et courageux nous donne sa vision et ses objectifs sous le signe de l’ouverture

pour un Midi Patriote!

Non à la Charte des Langues Régionales ET Minoritaires

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 (3) France Jamet est intervenue à propos du rapport 3 intitulé « Soutien à la langue occitane ». Il incluait notamment des aides et soutiens aux calandretes mais surtout demandait aux élus du conseil municipal de faire pression sur l’Etat afin qu’il signe « enfin la Charte Européenne des Langues Régionales ET minoritaires ».

Le Front National a redit son attachement à la langue occitane en tant que tradition culturelle mais rejeté le soutien à cette fameuse Charte que tente de nous imposer l’Union Européenne et que le Conseil Constitutionnel a déjà refusée. Le rapport 3 portait sur plusieurs points :

  • Il s’agissait d’adopter les orientations de la ville en soutien à l’occitan notamment à diverses manifestations associatives et calendretes,
  • Mais il s’agissait surtout de « demander à l’Etat de ratifier la Charte Européenne des Langues Régionales ET minoritaires » que la France n’a pas encore signée. Ajoutant même que la France doit s’engager dans la défense de ses langues minoritaires.

France Jamet a d’abord mis en garde à ce que cette défense ne s’oppose pas à l’unité nationale. Il est ainsi séduisant de créer dès la maternelle un cursus français-occitan mais elle a rappelé qu’il ne fallait pas non plus oublier de conforter les cursus français-français puisque nos enfants maîtrisent de moins en moins notre langue nationale.

Elle a rappelé la décision du Conseil Constitutionnel du 15 juin 1999 qui refusait  « au nom de l’unicité et de l’indivisibilité de la République et de l’usage exclusif du français par les autorités administratives et des services publics » alors même que Monsieur Barral voulait  « la gommer pour permettre à la Charte européenne de s’imposer », puis l’Ordonnance de Villers-Côterêts du 10 août 1539.

Outre le danger de cette fragmentation de la nation par un « régionalisme politique », la Charte tend surtout à favoriser le communautarisme en amenant l’officialisation des « langues d’origine » au nom d’une idéologie multiculturaliste qui se justifiera plus encore demain par une immigration massive que plus personne ne peut nier.

Le Front National a redit son opposition à la dislocation de la France voulue par Bruxelles et demandé un vote par division afin de ne pas faire l’amalgame entre le soutien à la langue occitane et la Charte de Bruxelles.   En réponse, M. Barral a d’abord noyé le poisson en développant le sujet des calendretes à laquelle il a tenté d’amalgamer notre hostilité à la Charte Européenne des Langues régionales et minoritaires.

Puis il a expliqué que le principe d’une « nationalité qui exclut les autres nationalités » n’était pas pris en compte « actuellement » par la collectivité municipale actant ainsi non pas le « régionalisme occitan » mais bien un « nationalisme occitan ». Puis il s’est largement emmêlé les pinceaux avec sa vision, celle de l’Union Européenne et le texte défendant « une politique linguistique cohérente et volontariste sur l’ensemble de l’Espace d’Oc ». Comprenne qui pourra.

L’esprit (de la loi) et les conséquences de ce texte n’étaient ni clairs ni assumés…   Comme d’habitude, les premières invectives sont venues de l’Ump, dociles soutiens de la majorité (notamment et comme à son habitude, de la part de l’élu dit « le Républicain » Dumont qui refuse systématiquement de chanter la Marseillaise en début de séance, s’emmurant dans un mutisme de rigueur, lèvres pincées et bras croisés…)

Puis des noms d’oiseaux et cris d’exaspération ont fusé ensuite du côté de la majorité de gauche de Monsieur Saurel qui nous a finalement refusé un vote par division…Non sans avoir conclu avec une large dissertation hors sujet sur l’occitan, niant ainsi les effets de la Charte Européenne sur notre identité et nos traditions.

Vivement Marine, avant que l’Histoire nous donne encore raison…

Par le petit trou de la Lorgnette

Vidéo du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 (1)

Ce conseil municipal a battu un petit record : près de 6 heures 30 de débats majoritairement animés par le Groupe d’opposition du Front National. Enfin, débats… après une heure d’interventions diverses sur l’actualité, et plus d’une heure d’un rapport d’audit (que nous avions pris la peine de lire, contrairement à d’autres…), les dossiers ont été enfin abordés.

Préalablement, le Maire a tenu à lancer un débat à propos de l’annonce de la ligne TGV Toulouse-Bordeaux qui a été décidée, une nouvelle fois, arbitrairement par Paris, au détriment de la ligne Toulouse-Narbonne, qui aurait permis à nos deux capitales liées par le gouvernement socialiste, d’être reliées et d’œuvrer ensemble à l’essor de nos territoires (cf infra : Toulouse tourne le dos à Montpellier).

Cette nouvelle plombe très certainement les espoirs légitimes des acteurs économiques de notre région, mais n’entame en rien l’optimisme béat de M. Saurel qui continue néanmoins de « soutenir le gouvernement sur cette réforme ».

D’autant plus qu’il n’aura échappé à personne que cette tactique est essentiellement électoraliste. Le pouvoir socialiste s’applique ainsi à soutenir la campagne de Madame Delga qui est déjà plombée depuis le début (foire d’empoigne pour obtenir des avantages et titres de part et d’autres de sa liste) et s’enlise dans sa méconnaissance de notre région, de ses dossiers et l’absence de programme.

A ceux qui regardent par le petit trou de la lorgnette pour projeter l’avenir de notre région et portent le sujet de la campagne sur « LE nouveau nom » de notre future région, France Jamet a apporté quelques arguments concernant la ligne TGV et la LNMP (lire Ligne Nouvelle de Montpellier Perpignan) dont on parle depuis 30 ans et dont le dernier tronçon et encore à l’étude… après plus de 30 ans d’impéritie et d’inertie.

Aux Côtés de Julien Léonardelli, France Jamet est allée Soutenir la Campagne de Louis Aliot

FN 31 02_leonardelli_jamet_frontnational_plaisancedutouchC’est en tant que Présidente du groupe “Front National” au Conseil régional de Languedoc-Roussillon, que France Jamet a accompagnéJulien Leonardelli, secrétaire départemental du Front National de la Haute-Garonne, dans sa campagne de terrain pour soutenir la candidature de Louis Aliot aux élections régionales en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.

 

Ils sont ainsi allés à la rencontre de plusieurs membres du Collectif citoyen contre le projet de Zone Commerciale à Val Tolosa de Plaisance du Touch.

 

Ils ont ensuite effectué une tournée des commerçants de Tournefeuille, en compagnie de Michèle Pellizzon, conseillère municipale du Front National et du Rassemblement Bleu Marine sur la commune.

 

Sachez que l’accueil réservé à nos cadres frontistes fut chaque fois courtois et souvent très, très chaleureux…

 

Enfin, la journée s’est terminé par une réunion publique de soutien à Louis Aliot, à Plaisance du Touch, en présence d’une cinquantaine de partisans patriotes.FN 31 01_leonardelli_jamet_val_tolosa-1024x768

 

Toulouse tourne le dos à Montpellier

Communiqué de presse de France Jamet, Présidente des élus du groupe Front National au Conseil régional du Languedoc-Roussillon, Conseillère Municipale de Montpellier, Membre du Bureau Politique du FN

La nouvelle concernant le TGV Bordeaux-Toulouse est lourde de conséquences pour notre Languedoc-Roussillon.

Alors que Montpellier n’a toujours pas fait la jonction avec l’Espagne dans le cadre du couloir nord-sud voulu par l’Union Européenne (toujours en manque ou en attente de financements et de volonté politique), la décision du gouvernement de passer outre l’avis de la Cour des Comptes et faire le choix d’une nouvelle ligne TGV reliant Bordeaux à Toulouse signe définitivement la mort de la métropole Montpellier au profit de celle de Toulouse.

Non seulement Montpellier ne sera pas reliée à Toulouse par le TGV mais pour rejoindre Paris, Toulouse passera directement par Bordeaux, tournant définitivement le dos à « Montpellier 3M ».

La force centrifuge de Toulouse va donc absorber notre région et notre ancienne capitale comme elle l’a fait pour tout le reste de la région Midi-Pyrénées.

Il aura manqué aux élus, au pouvoir depuis 30 ans, non seulement du courage, de la volonté et de la lucidité mais surtout un amour vrai et désintéressé de la Nation, un respect égal pour tous nos compatriotes de Midi-Pyrénées comme ceux du Languedoc-Roussillon.

Louis Aliot, lui, n’en manque pas et il s’engage à défendre notre identité et l’équité territoriale comme le Front National l’a toujours fait.

Nous mènerons ensemble ce combat jusqu’à son terme pour que Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon puissent se faire face et œuvrer ensemble.