C’est ainsi qu’au mois de janvier, nous avons conclu notre dernier plaidoyer contre la Métropole, ses conséquences et ses excès : Plus d’impôts, moins de proximité, des communes oubliées, des compétences réduites pour les maires, clientélisme et féodalités, etc.
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Nous avons été les seuls à lutter jusqu’au bout contre cette fausse bonne idée.
Un mois plus tard, les désillusions et les problèmes font déjà surface : police municipale, routes, urbanisation, … Certains déchantent, d’autres serrent les dents.
Nous l’avions prévu.
Que ce soit en matière d’insécurité, de fiscalité, de gaspillages, contre le financement du Fise ou la gare de la Mogère, qu’il s’agisse de prévention des risques ou d’urbanisation excessive…
Comme chaque fois, le Front National a raison, comme toujours et avant tout le monde.
Et c’est hélas aussi triste à dire qu’à entendre : « On vous l’avait bien dit! »