Bien que l’on parle encore aujourd’hui de « fusion » c’est une bien une politique de « divisions » et d’éclatement qui a été lancée par le PS et l’Ump puis mise en place par le gouvernement sans concertation, sans réflexion, sans perspective et à hautes visées électoralistes.
Ni utile ni nécessaire, cette réforme a été imposée par une classe politique à bout de souffle, complètement déconnectée de la réalité et des préoccupations de nos compatriotes.
Reconnaissons-leur au moins un talent, celui du charcutage et du saucissonnage.
Mais la charcuterie, métier artisanal reconnu au terme d’un long apprentissage, perd toute sa valeur et sa noblesse lorsqu’elle est pratiquée sans vergogne par des élus et des politiques aux abois à des fins purement électoralistes et personnelles.
Souvenons-nous bien que le but essentiel de cette « fusion » était de priver le Front National d’une région qui devait basculer et s’émanciper de l’alternance Umps aujourd’hui Républicains-PS.
Le Front National mené par Louis Aliot lors des prochaines échéances électorales s’engage comme il l’a fait dès le début à reconstruire nos territoires, à réconcilier nos identités et à garantir la parité entre Montpellier et Toulouse.
En tout état de cause, le Peuple étant souverain et hostile à 75% à cette réforme qui ne débouchera sur aucune perspective ni aucune économie (au contraire!), c’est à nos compatriotes du Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées qu’il appartiendra de choisir et de se réapproprier leur destin en s’exprimant dans les urnes au mois de décembre à l’occasion des élections régionales pour le seul mouvement qui défend leur région et l’intérêt général avant tout, le Front National.
Communiqué de Presse de France Jamet
Membre du Bureau Politique
et Présidente du Groupe des Elus Front National au Conseil Municipal et à la Métropole de Montpellier
Communiqué de Presse de France Jamet
Membre du Bureau Politique du Front National
Présidente du Groupe des Elus FN Montpellier Fait Front au Conseil Municipal de Montpellier
Avec des Tête de liste, des sous-têtes de liste, des présidente et présidente adjointe, vice-présidents et vice-présidents délégués-adjoints…
La liste de gauche qui se présente aux élections régionales de décembre 2015 ne s’attache plus qu’à s’autodésigner les uns et les autres, partager les postes et les titres prestigieux, sans qu’aucun programme n’ait été encore proposé.
Sans qu’aucun bilan n’ait encore été présenté.
Sans que l’équilibre entre nos territoires Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon ne soit pris en compte.
Sans que la parité entre Montpellier et Toulouse ne soit respectée.
Sans se soucier non plus et surtout des préoccupations de nos compatriotes ni des problématiques qu’entraîne cette fusion ordonnée par le gouvernement de Solférino que seul le Front National a dénoncé du début à la fin.
Notre groupe sous la présidence de France Jamet donne toute sa confiance à Louis Aliot qui s’est engagé sur le respect de nos identités, de nos terroirs, de notre ruralité et de nos compatriotes, tous nos compatriotes de Midi-Pyrénées au Languedoc-Roussillon.
Quelles perspectives pour la région? La fusion avec Midi-Pyrénées appelle une nouvelle culture politique d’action publique. Pas facile d’autant que la tradition administrative française est assez éloignée de cette culture de la coopération. C’est le thème de La Voix est Libre samedi 6 juin à 11h30.
Mener une politique d’action publique commune aux deux régions parait au premier abord assez complexe à mettre en oeuvre. En outre, l’absence d’un leadership politique incontestable en Languedoc-Roussillon rajoute à une visibilité parfois réduite de la région dans cette construction. Pour faire face à cette nouvelle entité, les métropoles de Toulouse et de Montpellier s’organisent mais tout reste à inventer…Pour en parler, sur le plateau de La Voix est libre:
Max Lévita, maire Adjoint de Montpellier
France Jamet, présidente du groupe FN au conseil régional
Jean-Jacques Pons, président groupe centriste au conseil régional
Une émission préparée et animée par Stéphane Ratinaud .
Communiqué de France Jamet
Présidente du Groupe Front National « Montpellier fait Front »
Le 29 mai 2013 Madame Mandroux, ancien maire de Montpellier, célébrait et organisait le 1er mariage gay dont les petits fours et boissons payés avec l’argent du contribuable étaient offerts à quelques centaines d’invités internationaux triés sur le volet.
Le 6 juin 2015, presque 2 ans plus tard jour pour jour, dans un silence politique et médiatique quasi-total, Monsieur Saurel, ancien maire « à plein temps » a choisi de signer, à la suite de Mme Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Education Nationale, la « Charte d’engagement LGBT de l’Autre Cercle », qui doit engager les signataires à « faire progresser les questions relatives à l’orientation sexuelle et à l’identité sexuelle ou de genre » dans tous les contextes professionnels et dans nos collectivités territoriales.
On relèvera curieusement que si la charte encourage à « garantir la confidentialité des informations relatives à l’orientation sexuelle ou l’identité etc.. », elle prône également une discrimination positive (inclusive) dans tous les secteurs professionnels pour les « populations LGBT » (sic).
Au-delà du fait que face à certains publics et dans certains environnements comme les écoles, il est indubitable que le prosélytisme prôné par LGBT n’est ni de mise ni de rigueur, le Groupe Front National « Montpellier fait Front » rejette dans son entier le principe de discrimination positive, puisque son corollaire inégal et injuste entraîne forcément le rejet de tous les autres, tous ceux qui ne sont pas « inclus » dans des priorités définies sur des critères communautaristes.
Sur tout cela et sur le fond, nous défendons au contraire le principe de neutralité en matière de sexualité. Sur la forme, au-delà du décalage entre les préoccupations majeures de la population et celles du candidat qui voulait « faire de la politique autrement », nous dénonçons l’utilisation des deniers publics qui vont être déboursés pour relayer la propagande LGBT et les formations d’adaptation et de promotion qui en découleront.
Après la Métropole passée en force sans demander leur avis aux populations concernées, le futur candidat aux régionales impose ses choix toujours dictés par des préoccupations électoralistes et expansionnistes qui ne servent ni l’intérêt général, ni l’intérêt des Montpelliéraines et Montpelliérains, ni même des homosexuels qu’il prétend défendre.
Non seulement M.Saurel n’a pas à engager Montpellier et la Métropole vis-à-vis de la LGBT… Mais il serait bien inspiré d’expliquer et de justifier son choix sur cette association dite de « diversité et d’inclusion » dont les représentants autoproclamés brillent le plus souvent par leur sectarisme et leur totalitarisme.
France JAMET Membre du Bureau Politique Présidente du Groupe FN Montpellier fait Front
À l’occasion des 10 ans du NON des Français à la Constitution européenne par référendum, Marine Le Pen s’adresse aux Français.
(voir la vidéo)
Mes chers compatriotes,
Il y a 10 ans jour pour jour, le peuple français disait massivement NON par référendum à la Constitution européenne.
Contre la Caste médiatique, la caste politicienne de l’UMPS, économique, et le show biz, il criait au monde sa soif de liberté et son amour de la France !
Ce 29 mai 2015, nous célébrons avec l’ensemble des patriotes ce magnifique geste de rébellion, de libération. Nous célébrons cette constante du peuple français dans son histoire à se mettre debout quand ses élites autoproclamées cherchent à le maintenir à genoux.
La funeste Constitution européenne fut balayée par les urnes. Fut rejeté par le peuple français ce texte qui prévoyait de remplacer les Etats Nations par l’Europe fédérale, qui gravait dans le marbre l’ultralibéralisme bruxellois, la disparition intégrale des frontières économiques et migratoires, le règne de la Finance, la suprématie arrogante des technocrates de l’Union Européenne sur nos lois.
Malheureusement, vous le savez, ce vote souverain a été foulé aux pieds quelques années plus tard, en février 2008, quand Nicolas Sarkozy alors président de la République fit voter par le Parlement réuni en Congrès un copié-collé de la Constitution européenne rebaptisé « Traité de Lisbonne ».
Cette trahison du peuple français et de nos principes démocratiques les plus élémentaires était la plus grave depuis la seconde guerre mondiale. Elle fut permise par le vote des parlementaires UMP et du centre bien sûr, mais aussi par l’apport massif des voix du PS. Elle entache à jamais le bilan de Nicolas Sarkozy et ruine sa crédibilité quand il ose encore prétendre aujourd’hui qu’il sera demain le défenseur du référendum…
Est-ce à dire que le vote des Français en 2005 fut inutile du fait de cette trahison ? Non en aucune façon. La Caste sait depuis 2005 que le peuple français n’a pas l’intention de laisser tomber la France. Et depuis qu’elle le sait, la Caste tremble, panique. Tant mieux car elle commet des erreurs.
Chaque patriote sait lui qu’il fait partie d’une majorité : voilà qui incite à l’optimisme ! Un système autoritaire ne tient jamais longtemps face aux aspirations profondes d’un peuple épris de justice et de démocratie.
Ce vote a forcé l’UMPS a tomber les masques en faisant passer de force un texte pourtant rejeté dans les urnes. Depuis, voyez comme le temps s’est accéléré ! L’UMPS n’a plus jamais osé faire le moindre référendum national en France. Nicolas Sarkozy a fait pression pour annuler un référendum sur l’euro en Grèce en 2011. Les élites ont été forcées d’avouer leur haine de la souveraineté populaire. Chacun s’est révélé et c’est très bien ainsi, car le citoyen juge d’autant mieux ses responsables publics qu’il les voit tels qu’ils sont vraiment, et non tels qu’ils voudraient apparaître. Un voleur déguisé depuis des années en honnête homme redevient un voleur aux yeux de tous quand il est pris la main dans le sac !
Alors, mes chers compatriotes, célébrons aujourd’hui 29 mai 2015 les dix ans de cet esprit français de résistance ! Préparons-nous à chasser définitivement cette caste qui s’est permis de trahir les Français.
Mon projet pour la France s’appuie sur cet esprit d’insoumission et de liberté ! Il prévoit la réhabilitation radicale du référendum. Par des référendums obligatoires sur les grands sujets. Par l’obligation d’utiliser le référendum pour modifier la Constitution ou en matière européenne. Par la suppression de cette prérogative qui était donnée au Parlement de se réunir en Congrès et qu’il ne mérite plus, l’ayant détournée contre le peuple français en 2008. Par la création d’un référendum d’initiative populaire déclenché grâce à la collecte de 500 000 signatures au niveau national. Par l’usage du référendum local à tous les échelons de décision : commune, département…
Plus que jamais en ce jour, mes chers compatriotes, crions notre amour de la liberté et de la France !
A la séance du 31 mai 2015, tous les conseillers de la Métropole sauf France Jamet ont voté pour un Contrat de Plan Etat Région (qu’ils n’ont jamais eu en main ni lu).
Ce document devait inclure un volet territorial métropolitain promis par M. Saurel qui n’a jamais été présenté au Conseil.
Mais tous les élus métropolitains l’ont voté les yeux grands fermés.
Le Front National ne s’est pas mêlé à cette mascarade …
Seule France Jamet a fait entendre sa voix pour mettre en garde le conseil métropolitain sur l’issue hasardeuse de cette démarche, ce saut dans le vide et a surtout dénoncé le caractère antidémocratique et dénué de toute transparence de ce vote.
Les faits lui ont donné évidemment raison. Le lendemain, 23 mai, les 116 pages du fameux CPER soumis au vote et présenté le matin même au Conseil Régional par son Président ne n’incluaient pas le volet territorial avec les desiderata de M. Philippe Saurel.
L’exécutif socialiste régional a vu sans doute dans cette démarche une tentative du Maire de Montpellier de faire pression sur Solferino et les candidats à l’élection régionale de décembre puisque ce dernier ne cache pas non son ambition de se présenter à ce qu’il définit comme « des petitesprésidentielles« .
A moins que l’enjeu ne soit tout simplement un portefeuille ministériel dont il rêve encore secrètement.
Mais pour nourrir ses projets personnels, l’ex « maire à plein temps » a engagé tous les conseillers.
Tous les élus de la Métropole se sont ainsi retrouvés avec lui Gros-Jean comme devant….
Sauf le Front National, grâce à lucidité de France Jamet, qui défend avant tout l’intérêt général et non les intérêts particuliers ou les ambitions d’élus toujours en quête de plus de pouvoir.
A l’occasion du premier anniversaire ( 25 mai 2014 – 25 mai 2015 ) de l’élection des députés Front National/ Rassemblement Bleu Marine en tant que première délégation française au Parlement européen, nos députés européens nous adressent ce message :
Si la préfecture, le rectorat, l’Ars sont amenés à quitter notre région demain, c’est à cause de la loi Notre votée par les parlementaires socialistes et Ump de l’Hérault.
Ils ont ainsi renforcé la volonté de Solférino et la puissance de Toulouse, au détriment de Montpellier.
La réforme devait conduire à des économies et entamer le mille-feuille ?
Les élus seront payés plus cher, à l’image des conseillers départementaux, et nous avons une strate supplémentaire, la Métropole, « L’arme fatale 1 » de Saurel.
Aujourd’hui, on nous joue « L’arme fatale 2 » : un vœu auquel ni Valls, ni Hollande ne répondront.
Sans logique, sans conviction ni stratégie, ceux qui ont accompagné la fusion n’ont pas mené la guerre qui s’imposait à vos intérêts.
Le FN seul l’a dénoncé.
Alors que notre hymne national « La Marseillaise » nous engage à défendre «nos campagnes », l’UMPS nous a joué sa berceuse.
Aujourd’hui, on serait tenté de dire qu’ils ont tout loupé.
Mais en fait, ils n’ont rien tenté…
CE QUE LA PRESSE EN DIT…
[La Marseillaise]
La Métropole a adopté un vœu pour réclamer le maintien de l’Agence régionale de santé dans la région.
Branle-bas de combat ! Depuis que Toulouse a été désignée capitale « provisoire » de la future grande région, et que tous les préfigurateurs (chargés de préparer l’organisation administrative du territoire fusionné) ont été nommés en Midi-Pyrénées, les esprits s’échauffent dans le Montpelliérain. On y craint les effets dévastateurs d’une concentration des pouvoirs à Toulouse sur l’économie et l’attractivité du territoire héraultais.
C’est pour contrer cette « fatalité », que l’assemblée de la Métropole de Montpellier a adopté mardi 28 avril un voeu pour que le siège de l’Agence régionale de santé (ARS) soit maintenu à Montpellier. « C’est un impératif pour le CHRU, pour les instituts, pour la fac de médecine, pour le réseau d’hospitalisation privée, pour les chercheurs », énumère le président Philippe Saurel. Fait peu commun, le texte de ce voeu a été co-rédigé et présenté au conseil par Jacques Domergue, chef de l’opposition UMP à Montpellier. Mais le statut incontesté du médecin, directeur de l’Institut de lutte contre le cancer (ICM), lui confère une légitimité particulière dans ce domaine.
« Nous perdrions notre identité et notre âme »
« Le conseil des ministres l’a précisé : la désignation des préfigurateurs ne saurait prédéterminer la localisation des administrations, a rappelé Jacques Domergue en préambule. Il faudra que ça se vérifie. » Rappelant l’importance de la médecine dans l’histoire de la ville, avec une fac de médecine créée en 1289, ce qui en fait la plus ancienne du monde occidental encore en activité, mais surtout le poids économique de la santé sur le territoire de la Métropole (130 000 emplois y sont liés), il appelle donc à « une répartition équilibrée des champs de compétences entre les deux métropoles. »
« Si nous perdions l’ARS, nous perdrions notre identité et notre âme », poursuit l’élu de droite, un tantinet grandiloquent, allant jusqu’à appeler à la manifestation en cas de surdité du gouvernement. « Il en va de notre survie ! » A l’exception du FN, qui n’a pas souhaité participer au vote pour « ne pas être associés à cette mascarade », le voeu a obtenu l’unanimité des élus. Ils se sont succédé au micro durant près d’une heure pour enfoncer le clou et défendre en Montpellier une « capitale de la santé ». Y compris Alex Larue (UMP), même s’il a profité de son intervention pour fustiger l’attitude « revancharde » de Philippe Saurel ces derniers mois, à ses yeux à l’origine de l’affaiblissement de Montpellier.
Seule France Jamet (FN) a clairement exprimé son rejet du texte. Reprochant à Philippe Saurel d’avoir « accompagné ce processus » en se rapprochant du maire de Toulouse Philippe Moudenc, elle dénonce un « voeu totalement démagogique » qui va entraîner la Métropole « dans une spirale sacrificielle ».
Une position évidemment fustigée par tous les élus prenant la parole après elle. Mais nombreux ont aussi appelé à ne pas se contenter de la santé. Bernard Traviers (vice-président à la Culture) a exprimé ses inquiétudes sur le devenir de la Cour d’appel, tandis qu’Henri Rouilleault (élu d’opposition à Castelnau-le-Lez) a réclamé le maintien de deux rectorats.