[ Communiqué de France Jamet ] La Réforme des Retraites des Pêcheurs Condamne à terme L'avenir de la Profession.

Le régime de retraite de nos marins, vieux de quatre siècles, est lui aussi menacé par la réforme des retraites du gouvernement Macron/Philippe exigée par Bruxelles.

La remise en cause de leur légitime départ à la retraite à 55 ans, pour des raisons évidentes de pénibilité, s’ajoute à la réduction mécanique de leurs pensions par le calcul proposé. Les pêcheurs, qui ont déjà du mal à se faire entendre pour maintenir leur activité face aux pressions bruxelloises, s’en inquiètent à juste titre.

Cette réforme est donc dangereuse à plus d’un titre :

– agrégée au vieillissement de la profession des marins pêcheurs français et à un déficit d’attractivité et d’image, elle condamne à terme le recrutement difficile de jeunes marins;

– ajoutée aux attaques de Bruxelles contre nos pêcheurs en activité, elle met en danger de mort une profession essentielle pour notre économie et notre souveraineté alimentaire.

La réforme des retraites, exigée par l’Union européenne et mise en place par le gouvernement Macron, engage notre avenir, la pérennité de notre économie et notre modèle de société.

C’est donc au peuple français, par le biais d’un référendum, qu’il appartient de décider de ses choix.

[ Communiqué de France Jamet ] Le Travail Détaché en France ne Rapporte rien à nos Caisses de Retraite !

Le travail détaché n’est pas seulement synonyme de dumping et de dérégulation sociale : Il a aussi des conséquences désastreuses sur notre système de protection et nos retraites.

Les travailleurs détachés en France, dont nul n’est capable d’estimer leur nombre exact, ne rapportent pas un seul euro à nos caisses nationales. Ils cotisent dans leur pays d’origine, ce qui constitue de fait un manque à gagner conséquent et direct pour nos caisses.

En plus de peser à la baisse sur le salaire et sur les conditions de travail des salariés français, le travail détaché enterre de fait les perspectives d’avenir de notre système de retraite et de notre sécurité sociale, déjà minés par les politiques d’austérités dictées depuis Bruxelles et appliquées par Macron et Philippe.

Il n’y a qu’une seule voie viable pour sortir de cette situation : abolir la directive européenne sur les travailleurs détachés et mettre en place la priorité nationale à l’emploi, dans notre pays, afin que chaque Français ait accès à un travail rétribué par un salaire décent.

[ Communiqué de France Jamet ] L’esclavagisme du 21ème Siècle S’organise dans les Banlieues à Travers les Plateformes Uber

Le  22 novembre 2019

 

Un article du Point, la semaine dernière, dévoilait un système de travail dissimulé organisé par le biais de la plateforme Uber en dehors de toute règle, de toute législation sociale.

Des « grands frères » notamment louent ainsi leur identité à des adolescents qui effectuent à leur place des livraisons de repas UberEat, prélevant au passage 40% des gains acquis.

Face à cette dérive, les dirigeants actuels de notre pays sont incapables de réaffirmer et de proposer à notre jeunesse des perspectives et un message clair porteur d’avenir.

Le Rassemblement National propose de revaloriser l’apprentissage dès 14 ans et d’en faire une réelle voie d’excellence, afin de remplacer « le grand frère » par le maître artisan et ses savoir-faire porteurs de notre identité et de nos traditions.

Face aux technocrates de Bruxelles, nous défendons le travail et l’effort qui sont des notions nobles, nous ne les laisserons pas être dénaturées par l’ultralibéralisme qui aliène l’homme et le réduit à l’état de marchandise esclavagisée.

[ Communiqué de France Jamet ] L’Inde Défend ses Intérêts et refuse de Rejoindre le Traité RCEP.

Le  8 novembre 2019

Il y a quelques jours, à Bangkok, la diplomatie indienne a fait savoir que l’Inde ne joindrait pas le traité instituant une gigantesque zone de libre-échange dans l’Asie Pacifique.

Le gouvernement indien a fait savoir que le risque de submersion de son marché intérieur par des produits industriels chinois ou des denrées agricoles venues d’Australie ou de Nouvelle-Zélande représentait une atteinte à ses intérêts économiques vitaux.

L’Inde fait ainsi le choix d’affirmer son indépendance et sa souveraineté face au dogme du libre-échange. Un choix que ni la Commission Européenne ni le gouvernement français n’ont eu le courage de faire dans l’intérêt de nos industries et de nos paysans laminés par les accords de libre-échange négociés par Bruxelles.

Protéger son économie n’est pas du repli sur soi, c’est tout simplement le bon sens le plus élémentaire qui s’impose à toute nation soucieuse des intérêts de son peuple et de son identité.