Toulouse tourne le dos à Montpellier

Communiqué de presse de France Jamet, Présidente des élus du groupe Front National au Conseil régional du Languedoc-Roussillon, Conseillère Municipale de Montpellier, Membre du Bureau Politique du FN

La nouvelle concernant le TGV Bordeaux-Toulouse est lourde de conséquences pour notre Languedoc-Roussillon.

Alors que Montpellier n’a toujours pas fait la jonction avec l’Espagne dans le cadre du couloir nord-sud voulu par l’Union Européenne (toujours en manque ou en attente de financements et de volonté politique), la décision du gouvernement de passer outre l’avis de la Cour des Comptes et faire le choix d’une nouvelle ligne TGV reliant Bordeaux à Toulouse signe définitivement la mort de la métropole Montpellier au profit de celle de Toulouse.

Non seulement Montpellier ne sera pas reliée à Toulouse par le TGV mais pour rejoindre Paris, Toulouse passera directement par Bordeaux, tournant définitivement le dos à « Montpellier 3M ».

La force centrifuge de Toulouse va donc absorber notre région et notre ancienne capitale comme elle l’a fait pour tout le reste de la région Midi-Pyrénées.

Il aura manqué aux élus, au pouvoir depuis 30 ans, non seulement du courage, de la volonté et de la lucidité mais surtout un amour vrai et désintéressé de la Nation, un respect égal pour tous nos compatriotes de Midi-Pyrénées comme ceux du Languedoc-Roussillon.

Louis Aliot, lui, n’en manque pas et il s’engage à défendre notre identité et l’équité territoriale comme le Front National l’a toujours fait.

Nous mènerons ensemble ce combat jusqu’à son terme pour que Midi-Pyrénées et le Languedoc-Roussillon puissent se faire face et œuvrer ensemble.

Il court, il court le Furet…

Dans une semaine, le conseil de Métropole va faire sa rentrée.

Nous avons eu peu d’actualité à nous mettre sous la dent ces dernières semaines.

Nous devrons reparler bien sûr des intempéries et de l’impéritie de nos politiques, mais peu de commentaires restent à faire sur leur activité, en tous cas localement.

Ah si ! Nous avons vu pendant tout l’été, tout ce mois de septembre (il l’annonce) et nous verrons vraisemblablement jusqu’en octobre (il l’espère), notre « ex-maire-à-plein-temps » et Président de « Montpellier 3M» battre la campagne pour ses propres Régionales.

Il courait, il courait le candidat-à-plein-temps.

Il est passé par ici, il repassera par là…

Il était partout et nulle part le furet du bois joli.

En tous les cas très loin de vos préoccupations et de vos soucis de rentrée.

Très loin aussi de Montpellier… et de sa Métropole.

Régionales 2015 sur TVSud : Pour le Candidat FN Louis Aliot, "Reynié Défend tout ce que la gauche a Défendu"

Conférence de presse de Louis Aliot le 18 septembre 2015 avec France Jamet, présidente de groupe FN à la Région Languedoc-Roussillon et Gérard Prato, Secrétaire départemental de l’Hérault – Reportage de TV Sud Par Marlène Meck

Après Toulouse, ce lundi, c’est à Montpellier que Louis Aliot a lancé sa campagne aux élections régionales, ce vendredi 18 septembre 2015. Le candidat Front national à la présidence de la future grande région Languedoc-Roussillon – Midi-Pyrénées espère rassembler 30% des électeurs derrière lui au soir du premier tour. Le programme reste à définir mais d’ores et déjà le vice-président du FN vise un double objectif politique : ravir la Région au Parti socialiste et séduire les électeurs des Républicains, aux dépens notamment de la tête de liste Dominique Reynié.

La liste départementale de l’Hérault sera menée par le binôme Gérard Prato – France Jamet. La présidente du groupe FN au Conseil régional Languedoc-Roussillon apportant son expérience et le nouveau secrétaire départemental sa fraîcheur. Reste à savoir qui sera tête de liste, l’investiture par le bureau national étant prévue le 21 septembre 2015. Quant au maire de Béziers, Robert Ménard, il fait partie du dispositif de campagne mais ne sera pas candidat.

Deux meetings sont prévus lors de cette campagne électorale, le premier à Nîmes, le 2 décembre prochain, en présence de Marine Le Pen et un second à Toulouse.

Régionales : Lancement de la Campagne du Front National dans L'Hérault avec Louis Aliot

Louis Aliot a lancé sa campagne aux élections régionales, ce vendredi 18 septembre 2015. France Jamet, Conseillère Municipale de Montpellier et de sa métropole, était présente en tant que Présidente sortante du Groupe des Elus Front National au Conseil Régional du Languedoc-Roussillon.
Le Front national entend bien remporter cette élection d’une nouvelle région (Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées) qui n’a pas encore de nom mais un destin à bâtir tout en respectant la parité entre Toulouse, imposée par Solférino, et Montpellier.

ML 15-09-19 RégionAliotJamet

Soutien aux Communes de France !

Communiqué de presse :
Le Front National apporte son plein soutien aux maires de France aujourd’hui mobilisés contre la baisse de leurs dotations, le désengagement de l’Etat et la disparition consécutive de services publics de proximité.

Les petites communes sont dans le collimateur des gouvernements successifs, qui les asphyxient financièrement dans le but de les faire disparaître au profit des grosses collectivités lointaines et coûteuses. La décentralisation anarchique a en effet créé des seigneuries locales très dépensières, à commencer par les intercommunalités et les régions.

Le Front National demande un plan national de lutte contre les gaspillages et les gabegies dans ces grosses collectivités ; les petites communes n’ont pas à payer les excès des autres.
Il rappelle son attachement aux communes, espaces de démocratie et de proximité. Il demande aux gouvernements RPS de cesser la décentralisation forcenée vers les grandes baronnies, qui se fait au détriment de l’Etat Nation, des services de proximité comme de l’aménagement du territoire.

Non à la fusion des Régions, non aux Groupes de presse en fusion

AliotFrance Jamet, Djamel Boumaaz et Audrey Lledo soutiennent l’action de Louis Aliot, Député Français au Parlement européen, qui vient d’interpeller la Commission européenne sur la situation monopolistique du groupe de presse de Monsieur Baylet.

En effet, Louis Aliot, vice-président du Front National et Député du Grand Ouest, s’est attaché à dénoncer auprès de la Commission européenne la position monopolistique et antidémocratique du patron des PRG dont le nom a même été évoqué, ces derniers jours, en remplacement de l’ancien ministre du travail :

« Jean-Christophe Cambadélis aurait admis que le président du Parti Radical de Gauche est « quelqu’un qui commence à peser lourd » car les radicaux soutiennent le PS au Parlement et sont les seuls alliés des socialistes aux régionales

Il aurait même révélé que monsieur Baylet, à la fois patron de « La Dépêche du midi » et du « Midi Libre » devenait incontournable pour l’avenir des socialistes dans cette région et un élément important de l’hypothétique réélection de François Hollande.
Face à cet aveu et aux conditions critiquables de l’accord PS-PRG pour les élections régionales de décembre 2015, j’ai décidé d’interpeller la Commission européenne sur la situation monopolistique de ce groupe de presse en posant la question écrite suivante et de déposer une plainte :

« Le Groupe de Presse « La Dépêche du midi », par ailleurs dirigé par un Président de parti politique membre de la coalition gouvernementale en France, vient de racheter le groupe de presse « Les journaux du Midi » qui lui octroie désormais un monopole de l’information sur la presse quotidienne régionale dans plusieurs départements français.

Cette fusion est extrêmement préoccupante dans la mesure où l’information quotidienne est concentrée par un seul et même groupe de presse, bénéficiant de subventions publiques, et diffusant précisément sur les treize départements qui constituent la nouvelle entité administrative régionale, fusion des ex-régions Midi-Pyrénées et Languedoc-Roussillon.

Cette situation monopolistique de l’information quotidienne régionale dans ces territoires ruraux pose le problème du pluralisme de l’information et de la situation d’abus de position dominante dans un secteur sensible. La Haute Autorité de la concurrence reconnait cette position de monopole et les problèmes qui y sont liés sur l’aspect commercial et marchand, mais ne se prononce pas sur l’aspect démocratique.

Ceci est d’autant plus important que la Commission s’est souvent préoccupée de situations similaires dans les ex-pays de l’Est candidats à l’Union. »