[ Communiqué de presse ] Dix Millions de Pauvres en France, ce N’est pas une Priorité pour Madame Borne !

Dix millions de pauvres en France, ce n’est pas une priorité pour Madame Borne

Ce mardi 25 janvier, le Parlement Européen recevait la Ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion Elisabeth Borne, venue présenter les priorités de la Présidence française de l’UE devant la commission de l’Emploi et des Affaires sociales.

Cette dernière a méthodiquement esquivé les questions qui lui ont été posées par les députés du Rassemblement National sur des enjeux cruciaux pour le peuple français :

– le travail détaché ;

– la détérioration des conditions de travail et des salaires ;

– la perte de pouvoir d’achat (électricité, carburant, gaz, produits de première nécessité…).

Alors que les politiques européennes ont engendré en France 6,5 millions de chômeurs et 10 millions de pauvres, les Français sont légitimes à demander des comptes : comment l’Union européenne utilise-t-elle leur argent ? (1)

L’Europe, maison commune millénaire, c’est plus et c’est mieux qu’un simple marché centralisé ouvert aux trafics et aux migrations.
Les élus européens du Rassemblement National s’engagent à soutenir la restauration d’ un État Stratège qui aura à cœur de défendre les intérêts des travailleurs français et leur pouvoir d’achat

(1)    : La France est le deuxième contributeur net de l’Union européenne

[ Communiqué de France Jamet ] Pêche en Occitanie : C’est un Métier Indispensable que L’on Assassine !

Pêche en Occitanie : c’est un métier indispensable que l’on assassine !

La baisse continue des jours de pêche autorisés en Méditerranée combinée à l’envolée dramatique des prix des carburants signent l’agonie de la flotte chalutière d’Occitanie et des 2 500 emplois qui en dépendent. Certains navires n’ont pas d’autres choix que de rester à quai jusqu’à 2022 parce que leur activité n’est plus rentable ; d’autres suivent le chemin de la casse.

En trois ans, le nombre de jours de pêche autorisés est passé de 220 à 183. Avec le plan West Med décidé par l’Union européenne, en 2022, il est prévu de le diminuer encore jusqu’à 160 jours, passant en dessous du seuil de rentabilité. Parallèlement, en quelques mois seulement, le prix du gasoil a doublé pour atteindre 0,75 € le litre. Ajoutons, à toutes ces difficultés, l’imposition des éoliennes offshore en Méditerranée qui remettent en cause les zones de pêche.

Il est donc impossible pour les marins pêcheurs d’embarquer dans des conditions dignes.

Parce qu’il y a urgence à agir, le Gouvernement français doit arrêter le suivisme aveugle des directives de l’Union européenne, qui a juré la mort de la pêche locale pour privilégier la grande pêche industrielle en multipliant des accords internationaux écologiquement peu regardants, notamment en Afrique. Il faut enfin user du levier fiscal pour compenser la hausse du prix de l’énergie par la baisse des taxes.

Seule Marine Le Pen aura le courage d’entreprendre ces réformes pour sauver la pêche française.

[ Communiqué de France Jamet ] À Sète, un Technocrate Bruxellois nargue les Pêcheurs Français : honte à lui !

En villégiature estivale à Sète, le 2 septembre, le commissaire européen à l’Environnement, aux Océans et à la Pêche, Virginijus Sinkevicius, est venu « s’assurer que les pêcheurs puissent poursuivre leur activité, même avec moins de jours sur l’eau »…

Peut-on faire encore plus hors sol ? C’est à croire que Virginijus Sinkevicius a le goût de la provocation, alors que le plan européen “West Med” menace de bientôt réduire à 140 le nombre maximal de jours de sorties en mer autorisés pour les pêcheurs en Méditerranée, bien en dessous de leur seuil de rentabilité de 177 jours de sortie en mer par an.

La raréfaction du merlu prétextée par Bruxelles ne représente que 7% des prises des pêcheurs. Elle est la conséquence d’une pollution des eaux dont les pêcheurs ne sont pas responsables. Les pêcheurs continuent  d’être traités comme des délinquants, alors que l’existence de la filière n’a jamais été aussi menacée et qu’ils sont devenus une variable d’ajustement des technocrates de Bruxelles.

Nos pêcheurs, fiers de leur métier noble et ancestral, voudraient le faire perdurer afin de pouvoir contribuer à garantir la pérennité de la filière et celle de notre souveraineté alimentaire.

Depuis des décennies, Bruxelles par sa politique commune de la pêche s’est attaché à boucher toutes leurs perspectives d’évolution, alors même que nos pêcheurs respectent les normes environnementales les plus strictes au monde et qu’ils ne cessent de devoir s’adapter à de nouveaux règlements toujours plus exigeants.

Cette politique est d’autant plus injuste que l’Union européenne continue de signer des accords de libre-échange qui font la part belle à une surpêche industrielle dont les conditions ne correspondent nullement à nos normes sanitaires et environnementales.

Nous ne pouvons plus tolérer que la pêche française soit la proie du cynisme bruxellois. En 2022, avec Marine Le Pen, nous donnerons la priorité à la défense des intérêts de nos pêcheurs et de notre filière française.

[ Communiqué de France Jamet et Virginie Joron ] Au Parlement Européen, les Victimes du Terrorisme Passent après les frais Administratifs !

Le 12 septembre 2019

D’après le rapport de l’ONU du 15 juillet 2019, l’État islamique poursuit ses activités clandestinement. Il établit des cellules dormantes, en prévision d’une éventuelle résurgence. Pendant ce temps, les victimes d’attentats, souffrent de mutilations physiques graves causées par les attentats, mais aussi de lourdes séquelles psychologiques. Leur retour à l’emploi est compliqué.

En cette rentrée parlementaire, le RN a donc proposé d’aider 200 victimes du terrorisme par un projet d’aide au retour à l’emploi d’une valeur d’1 million d’euros.

Les élus du « système » ont voté contre notre proposition. En revanche, ils ont voté pour ajouter 310 181 euros supplémentaires aux 78 millions d’euros de frais administratifs de la grosse machine de Bruxelles travaillant sur les questions d’emplois et d’affaires sociales.

C’était leur premier vote en commission.
Premier vote, première trahison.