[ Communiqué de France Jamet ] Malgré les Profits et les aides Européennes, les Banques Réduisent leurs Effectifs !

Alors qu’ils font toujours des bénéfices, les grands groupes bancaires internationaux ont décidé de supprimer une centaine de milliers de postes au moins durant ces prochaines années, admettant parfaitement que l’objectif visé est l’augmentation des marges bénéficiaires pour leurs actionnaires.

La France est touchée de plein fouet par ces restructurations. Dernière annonce en date : la fusion Société Générale/Crédit du Nord fera fermer 600 agences et supprimera entre 3 000 et 5 000 emplois en France. Ces réductions d’effectifs s’agrègent aux plus de 5 000 postes déjà fermés entre 2016 et 2020. Précédemment, HSBC prévoyait de se séparer de 15% de ses effectifs mondiaux, dont 557 postes sur 7 000 salariés en France. BNP Paribas, première banque française, a par ailleurs confirmé une réduction de 446 à 546 postes d’ici à 2021.

La pandémie de Covid-19 et l’arrêt brutal de l’économie pendant le confinement n’ont pourtant pas entraîné le déclenchement d’une crise financière. Des groupes tels que BNP Paribas et le Crédit Agricole ont même fait des bénéfices notables. La première pandémie de l’histoire du mondialisme apparaît de facto comme une aubaine pour augmenter les profits au détriment de l’emploi.

Certains de ces grands groupes ne se sont pas gênés pour bénéficier des largesses financières de l’État français et surtout de l’Union européenne. Au total, entre 2008 et 2018, Bruxelles a offert près de 5 039 milliards d’euros d’aides d’État aux groupes bancaires qui, aujourd’hui, réduisent largement leurs effectifs.

Il est grand temps que ces banquiers cessent de profiter d’avantages indus. L’État stratège tel que le conçoit Marine Le Pen récompensera le travail plutôt que la spéculation.

[ Communiqué de France Jamet ] Plan « West Med » : le Rassemblement National est aux Côtés des Pêcheurs D’Occitanie.

Sous prétexte de lutter contre la raréfaction de la ressource, le plan européen baptisé « West Med » prévoit de réduire à 160 le nombre maximal de jours de mer pour les chalutiers en Méditerranée. Jusqu’à présent, les pêcheurs pouvaient sortir 200 jours par an, leur seuil de rentabilité se situant à 177 jours.

Cette décision européenne, si elle devait être appliquée, serait donc une catastrophe économique et sociale pour les régions concernées, comme l’Occitanie. La destruction de la flotte chalutière signerait la fin des criées sur ces terroirs (80% des produits acheminés par les chalutiers y étant vendus). Pour un poste à la mer supprimé, c’est quatre à cinq emplois sur terre qui disparaissent ! En Occitanie, ce sont ainsi 2 500 emplois qui se retrouvent menacés dans un secteur déjà fortement ébranlé par la pandémie.

L’Union européenne doit cesser de sacrifier les pêcheurs, tels des boucs émissaires, sur l’autel d’une idéologie écologiste qui s’en prend aux mauvaises cibles. Le bassin méditerranéen souffre de maux très graves, mais qui prennent leur source ailleurs, notamment dans la pollution des eaux. Ainsi la Turquie rejette chaque année dans les eaux plus de 110 000 tonnes de déchets plastiques, l’Égypte, 250 000 tonnes.

Les vrais coupables sont ailleurs. Les pêcheurs sont des éléments indispensables de notre souveraineté alimentaire, et doivent à ce titre être protégés. Le Rassemblement National soutient le combat légitime des pêcheurs de Port-La-Nouvelle qui s’élèvent contre ce projet désastreux.

[ Communiqué de France Jamet ] General Electric Supprime Massivement des Emplois Français et Délocalise : à quand L’État Stratège ?

Après 264 départs volontaires en 2019, General Electric va encore supprimer près de 300 postes en France au sein de son entité spécialisée dans l’activité nucléaire et énergétique. Dans le même temps, la direction de l’entreprise confirme un « projet de restructuration au niveau européen », avec des délocalisations en Hongrie, en Chine et en Inde.

En 2014, toute honte bue, Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, avait défendu le rachat d’Alstom énergie par ce géant américain devant la Commission européenne de Bruxelles. Marine Le Pen l’avait dénoncé en son temps, Macron l’avait formellement nié.

Depuis, 3 000 emplois ont été supprimés en France par General Electric, soit un quart de ses effectifs et sans compter les plans sociaux en cours…

L’Usine nouvelle a annoncé récemment la suppression à venir de 753 postes, principalement dans les activités relatives aux réseaux électriques. 618 postes sont concernés dans cette branche, dont le site de Montpellier (Hérault) qui sera une fois encore durement touché.

Ce sont ainsi des milliers et des milliers d’emplois qui sont sacrifiés aujourd’hui sur l’autel du mondialisme. Seul un État stratège comme le préconise Marine Le Pen sera en mesure de sauvegarder nos emplois.

[ Communiqué de France Jamet ] Le Japon Convoite L’industrie Aéronautique Française.

Si, après avoir englouti 8 milliards d’euros, le Japon s’apprête à renoncer à créer un concurrent à Airbus, des groupes japonais envisagent des prises de participation afin d’intégrer la chaîne d’approvisionnement de l’avionneur européen, en profitant du fait que nombre de PME aéronautiques françaises sont en passe d’épuiser leur trésorerie.

Sous l’impulsion du très influent ministère japonais de l’Industrie, ce qui ressemble à un entrisme industriel stratégique inamical pourrait avoir des conséquences fâcheuses non seulement sur le groupe Airbus, mais aussi sur nombre de sous-traitants français : beaucoup seraient de facto écartés des commandes dans un avenir plus ou moins proche, alors qu’ils sont déjà en grandes difficultés du fait de la crise. Rien qu’en Occitanie, une trentaine de plans sociaux sont en cours dans l’aéronautique.

Ni l’Union européenne, ni le Gouvernement Macron/Castex n’ont la volonté politique de faire face à cela.

Un État stratège, comme le préconise Marine Le Pen, mettrait tout en œuvre pour préserver nos industries et nos emplois, qui plus est dans un secteur aussi stratégique que l’aéronautique.

[ Communiqué de France Jamet ] Projet éolien Offshore : les Pêcheurs Français Sacrifiés au nom D’une Pseudo-écologie.

Dans le cadre de la « stratégie sur les énergies renouvelables en mer » de l’Union européenne, les côtes françaises, de Dunkerque à Noirmoutier, doivent accueillir sept projets offshore entre 2022 et 2027, ouvrant ainsi les premiers parcs éoliens maritimes de la France. Dans un rapport produit par la commission Pêche, il est signalé qu’en mer du Nord, en mer Baltique, en Méditerranée, dans les régions de l’Atlantique et de la mer Celtique, les conflits avec les pêcheurs risquaient de s’intensifier.

En effet, les milieux marins sont déjà secoués par le Brexit, qui pourrait exclure les pêcheurs français des eaux britanniques. Or, les parcs éoliens s’implanteront en France beaucoup plus près des côtes (de 11 à 18 km) qu’ils ne le sont dans d’autres pays européens, du fait de la morphologie géologique du littoral français dans les aires concernées. Ces dernières sont par ailleurs non loin de zones classées Natura 2000, cruciales pour la ressource halieutique. Les pêcheurs sont légitimement très inquiets des conséquences environnementales sur les diverses espèces de poissons, crustacés et notamment les fameuses coquilles Saint-Jacques de la baie de Saint-Brieuc.

De l’aveu de l’étude elle-même, aucune évaluation n’est faite sur les effets écologiques et socio-économiques globaux cumulés de l’extension des énergies renouvelables en mer. Les pêcheurs sont à nouveau sacrifiés au nom d’impératifs plus idéologiques qu’écologiques. Le Rassemblement National, qui l’an dernier a lancé une grande campagne nationale « Stop aux éoliennes » afin de sensibiliser nos compatriotes sur les dangers de cette arnaque écologique, maintient plus que jamais son opposition à tout projet éolien dans l’optique de protéger les paysages et les emplois des Français.

[ Communiqué de France Jamet ] Clause Molière : la Justice Française aux ordres de la Commission Européenne.

La clause dite « Molière » vise à imposer l’usage de la langue française lors de la réalisation de chantiers, à la fois au nom de la sécurité des personnes sur les sites, et en raison du principe fondamental de la Constitution disposant que la langue de la République est le français.

En septembre, « la Cour administrative d’appel de Lyon, sur saisine du préfet de région, a rejeté une délibération de la Région Rhône-Alpes-Auvergne qui entendait lutter contre certaines dérives du travail détaché sur les chantiers régionaux par l’imposition d’une « clause de langue française. En cela, elle a confirmé la décision du Conseil d’État de 2017, qui a pour habitude d’appliquer servilement les dogmes de l’Union européenne.

Cela montre bien que l’objectif est d’imposer à terme le recours à la main d’œuvre détachée dans n’importe quelle condition, et bien évidemment toujours au détriment des travailleurs français.

Le Medef et nombre de syndicats la veulent depuis longtemps et nous la refusons depuis toujours : la directive « Travail détaché », sous les prétextes fumeux d’« harmonisation » et de « convergence », génère un dumping social et une insupportable discrimination à l’embauche au détriment de nos compatriotes. Avec Marine Le Pen, nous l’abrogerons !

[ Communiqué de France Jamet ] Non à L’importation de Travailleurs Saisonniers Marocains en Corse !

Sous prétexte de Covid-19 qui entraînerait une « pénurie de main-d’œuvre », plus de 900 travailleurs agricoles marocains viennent d’arriver en Corse afin de « sauver les récoltes de clémentines ».

Les délais étant très courts pour récolter quelque 20 à 30.000 tonnes de ces fruits, avec moins de trois semaines pour les récupérer, comment dans ces conditions justifier sérieusement de la situation sanitaire pour embaucher des étrangers plutôt que des nationaux ?

Le fait est que ces travailleurs immigrés en provenance du Maghreb représentent une part essentielle des saisonniers étrangers en France parce qu’ils permettent de garantir une marge financière confortable pour certains exploitants.

In fine, avec près de 23.000 chômeurs en Corse et plus de 6,7 millions dans notre pays (toutes catégories), le gouvernement Macron-Castex via l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) préfère aller chercher des saisonniers au Maroc plutôt que d’embaucher des Français d’abord.

Avec Marine Le Pen, nous mettrons en place la priorité nationale à l’embauche pour les Français.

[ Communiqué de France Jamet ] La COVID-19 fait des Ravages… économiques.

Depuis le début de la crise du coronavirus, les restructurations d’entreprises se multiplient, souvent accompagnées de « départs volontaires « et de suppressions d’emplois. A l’évidence, certains grands groupes profitent de la situation pour dégraisser sur l’autel du mondialisme.

Bridgestone à Béthune va fermer avec 800 salariés au tapis, l’Américain General Electric pourrait supprimer plus de 760 postes, quelque 5 000 emplois sont menacés en France chez Airbus, 4 600 chez Renault, un millier chez l’équipementier automobile Valeo, près de 1 500 chez Auchan… A cela s’ajoutent les coupes actées chez Beneteau, Camaïeu, Nokia, ou Sanofi.

Entre le 31 décembre 2019 et le 30 juin 2020, on a perdu environ 700 000 emplois marchands et non marchands, selon l’Insee, dont près d’un tiers étaient des postes en intérim.

La COVIDー19 ne doit être ni un paravent, ni un prétexte, à la crise économique.

Comme par grand hasard, ce sont ces mêmes grandes entreprises qui distribuent à leurs actionnaires de généreux dividendes et qui délocalisent à tout va, tout en demandant des aides publiques en prétextant des difficultés.

Tous ces salariés qui voient leurs emplois menacés, leurs vies remises en cause par des choix ouvertement antipatriotiques, n’ont pas besoin des larmes de crocodiles d’un Bruno Le Maire, mais de vraies solutions et perspectives d’avenir.

Avec Marine Le Pen, nous prioriserons le bien-être de nos compatriotes, le patriotisme économique, le protectionnisme intelligent et la souveraineté nationale dans le cadre d’un Etat stratège.

Français, réveillez-vous !

[ Communiqué de France Jamet ] Macron trahit les Français et a Sacrifié nos Pêcheurs.

À l’issue de la négociation du Cadre Financier pluriannuel 2021-2027, Emmanuel Macron a plié devant Mme Merkel et n’a pas hésité à sacrifier notre avenir et notre indépendance : impôts européens, abandon de notre agriculture, engagement financier colossal du pays… et baisse de 5% des moyens alloués au Feamp (Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche).

C’est non seulement une véritable trahison vis à vis des français mais aussi vis à vis de l’ensemble de la filière « Pêche » à la veille d’une crise économique, sanitaire et sociale aux conséquences dramatiques.

La crise du Covid a pourtant mis en exergue les dangers de la délocalisation, des Accords de Libre Echange et de la perte globale de notre souveraineté notamment alimentaire.

Nos pêcheurs ont donc encore servi de variable d’ajustement dans le cadre d’un pseudo plan de « relance » dont nous n’avons pas fini de payer les effets désastreux.

Décidément, pour Emmanuel Macron et l’UE il vaut mieux être passeurs en Méditerranée que pêcheurs.

Les français sont de plus en plus nombreux à penser avec Marine Le Pen, qui le préconise depuis toujours : la solution, c’est la Nation!