Le Flicage des Pêcheurs par Bruxelles S’intensifie

 

 

 

Le flicage des pêcheurs par Bruxelles s’intensifie

 

Ce 30 mai, le Conseil de l’Union européenne, et les députés européens de la coalition réunissant les Verts jusqu’aux LR, ont défini les nouvelles règles de contrôle de la pêche afin d’intensifier le flicage de nos pêcheurs :

 

– caméras embarquées obligatoires pour les navires de 18 mètres ;

– système de traçage satellite pour tous les navires.

 

Sous couvert de « numérisation des outils », Bruxelles renforce son emprise sur notre pêche à travers l’obligation de débarquement [1] inapplicable pour les pêches côtières, semi-hauturières et multi spécifiques.

 

Cette règlementation oblige nos pêcheurs à des dépenses d’équipement disproportionnées par rapport à la rentabilité de leur navire et les assimile à des délinquants.

 

Si notre farouche opposition avait permis une légère concession de la part de la Commission européenne [2], le nouveau projet de règlement salué par les ONG environnementales, n’en demeure pas moins inacceptable :

Parce qu’il met en danger la pérennité de notre pêche de petite et moyenne échelle.

Parce que nos importations de poissons à l’étranger augmenteront et affaibliront notre indépendance.

 

Le cœur du programme du Rassemblement national est la souveraineté de notre Nation, et notamment sa souveraineté alimentaire. Nous défendrons nos pêcheurs contre toutes les réglementations abusives que veut leur imposer l’Europe de Bruxelles.

 

 

 

[1] C’est à dire l’interdiction de rejeter toute prise, même accidentelle, à la mer

[2] Le projet initial de la Commission européenne était de rendre obligatoire les caméras embarquées pour tous les navires de 12 mètres, qui était une attaque en règle contre la pêche artisanale.

 

Le Délire de « super Eurorégion » de Mme Delga joue contre la France et les Intérêts de nos Compatriotes

Le projet lunaire de « macro-région méditerranéenne » exposé cette semaine à Barcelone par la présidente de l’exécutif régional d’Occitanie, Carole Delga, va directement à l’encontre des intérêts de nos compatriotes et est ouvertement antinational en plus d’être dangereux.

D’inspiration ouvertement euro-mondialiste, cette initiative défendue par la présidente socialiste remet sérieusement en cause le peu qui nous reste de souveraineté nationale, notre identité, de même que nos intérêts économiques et commerciaux (ainsi nos pêcheurs seraient impitoyablement sacrifiés).

Elle menace de facto notre mode de vie et notre sécurité, puisque cela fournirait un appel d’air sans précédent pour une nouvelle vague migratoire qui bousculerait les équilibres géopolitiques déjà bien mis à mal depuis plusieurs décennies par les politiques de droite comme de gauche.

Plutôt que de se lancer dans de telles lubies, afin de satisfaire un ego surdimensionné, la présidente de l’Occitanie ferait mieux de se mettre au travail afin de trouver des solutions viables pour améliorer le quotidien de tous nos compatriotes en région qui sont de plus en plus nombreux à souffrir du chômage, de la paupérisation, de l’écroulement de leur pouvoir d’achat, et de la désertification progressive d’une partie du territoire (médecins, services de proximité…).

L’heure n’est pas aux délires narcissiques d’un exécutif hors sol : l’alternance que nous proposons est plus qu’une nécessité, c’est devenu une urgence !

MACRON CONTINUE DE BRADER NOTRE SOUVERAINETÉ ÉCONOMIQUE ET STRATÉGIQUE

Le Gouvernement d’Emmanuel Macron a autorisé 131 rachats d’entreprises françaises qualifiées de sensibles d’après le rapport annuel du contrôle des investissements étrangers en France.

Comme toujours, ce gouvernement se paie de mots en prétendant vouloir protéger la souveraineté économique et l’indépendance françaises. La réalité est tout autre.

En silence, ce sont des pans entiers de notre économie qui passent sous contrôle étranger. Cette perte de la maîtrise d’entreprises stratégiques sera, comme à l’époque de la pandémie de Covid-19 et comme depuis le début du conflit russo-ukrainien, la source de nouvelles crises.

Le gouvernement délaisse et néglige le développement et la pérennité d’entreprises et de savoir-faire français au profit d’un culte de l’investissement étranger sur lequel nous n’aurons aucun contrôle, et qui ne servira pas les intérêts de la France.

Les premières victimes seront, comme toujours, nos compatriotes. Il est urgent de rebâtir notre souveraineté économique en investissant massivement dans notre filière nucléaire, qui nous a procuré pendant longtemps une énergie abordable et abondante, et de rompre avec le libre-échange mondialisé qui impose un cadre économique intenable aux entreprises françaises.

L’inflation est le Résultat de la Politique Mondialiste L’UE, menée à la Baguette par L’Allemagne

Mes chers amis,

Le Ministre de l’économie Bruno Le Maire, qui prétendait ruiner l’économie russe en six mois nous a encore gratifiés dernièrement de ses analyses concernant la suppression de la TVA sur les produits de première nécessité préconisée par Marine Le Pen.

 

Inutile, inefficace, dit-il en prenant l’exemple de l’Espagne. Qu’en est-il réellement ?

 

L’Espagne a pris des mesures ambitieuses et fermes en matière aussi bien d’énergie, en suspendant les règles européennes de fixation du prix de l’électricité, et en supprimant la TVA sur les produits de première nécessité.

 

« Les prix alimentaires explosent en Espagne ! » nous dit M. Le Maire mais il omet de dire qu’en réalité, en France, il n’a pas fait mieux avec une augmentation de 16%. En revanche, le Ministre de l’Economie ne dit pas un mot sur la prévision d’une hausse de 23 à 25% sur l’alimentaire et l’hygiène d’ici le mois de juin…

 

Sans cette mesure de bon sens prise par l’Espagne, les économistes estiment que la hausse aurait été supérieure à 18%. Les chiffres parlent d’ailleurs d’eux-mêmes :  une inflation qui retombe à 3.3% , contre 5,8 en France.

 

Donc, la baisse de la TVA prônée par Marine Le Pen serait plus favorable au pouvoir d’achat des Français, surtout les plus modestes, qui subissent plus que les autres la flambée des prix alimentaires. Alors que le choix de M. Le Maire a plongé une grande partie de nos compatriotes dans la précarité et a entraîné une avalanche de faillites d’entreprises.

 

La politique des chèques à tout va du gouvernement Borne contribue en fait à baser notre économie sur le principe de la dette. Ainsi en 2022, nous avons subi près de 8% d’augmentation d’impôts, soit 45,3% du PIB.

 

Les chèques sont par nature inflationnistes, puisqu’ils consistent en fait à imprimer de la monnaie qui n’existe et que nous devrons payer demain, avec une augmentation des prix et continument l’augmentation de nos impôts.

 

La réalité c’est que le gouvernement Français est en échec complet :

– Politiquement il est carbonisé par la réforme des retraites passé en force contre la volonté populaire, mais exigée par Bruxelles ;

– Economiquement, parce qu’il est incapable d’endiguer l’inflation des produits indispensables à la vie quotidienne des Français, inflation qui n’est que le résultat de la politique mondialiste et conflictuelle de l’UE, menée à la baguette par l’Allemagne.

 

Cette Allemagne qui nous a imposé ses lubies anti-nucléaires, secteur pourtant crucial, qui nous aurait permis d’atténuer le choc énergétique et inflationniste subi par les Français l’an dernier.

 

L’ultime recours de M. Le Maire et de notre Mozart de la finance consiste en fait :

– à dénigrer tout ce qui marche ailleurs ;

– Ou, à l’instar de Mme Von der Leyen à considérer que si cette Europe technocratique ne fonctionne pas, c’est qu’il en faut plus.

 

En fait, pour nous sortir de la crise, il faut avant tout regarder la réalité en face et changer, selon la formule consacrée, de logiciel.

 

Macron et M. Le Maire devraient être animés par une volonté d’indépendance et de souveraineté alimentaire, énergétique et politique.

 

Mais tout cela leur manque comme à nos dirigeants depuis 50 ans et nous ne les Français ne l’auront jamais ressenti aussi cruellement qu’aujourd’hui.

 

En 2024, les prochaines échéances électorales nous permettront de faire le choix du courage et de la France et des Français d’abord.

EOLMED : L’OFFENSIVE DE L’ÉOLIEN EN MÉDITERRANÉE EST LANCÉE!

Communiqué de presse

Eolmed : l’offensive de l’éolien en Méditerranée est lancée !

Le chantier de la ferme pilote d’éoliennes flottantes EolMed est lancé au large de Port-La-Nouvelle en Occitanie, où trois éoliennes géantes[1] devront être mises en service en 2024. Financées à grands renforts de subventions publiques de l’État et de la région Occitanie, elles seront les rampes de lancement de deux futurs parcs éoliens commerciaux en Méditerranée.

Qu’il s’agisse de l’éolien « flottant » qui s’installe ainsi en Méditerranée ou de l’éolien « posé » dont les chantiers attaquent la façade Nord et Atlantique de la France 2], plus rien n’arrête le lobby éolien :

–  musèlement des recours contentieux ;

– simplification des démarches administratives pour les projets ;

– accélération et augmentation des fermes éoliennes marines à venir…

Cédant non par faiblesse mais par zèle à la dictature de Bruxelles et des multinationales, Emmanuel Macron a fait le choix de sacrifier la beauté de nos littoraux, la diversité de nos ressources et l’activité de nos pêcheurs au nom d’une idéologie pseudo-écologiste.

Ce lundi 24 avril à l’occasion du 2ème Sommet pour la Mer du Nord en Belgique, il a confirmé sa détermination à construire une cinquantaine de parcs éoliens marins d’ici 2050, sous l’impulsion du « Pacte Vert » de Bruxelles, dont notre filière nucléaire française a été exclue et qu’il n’a pas défendue.

Au Parlement Européen, à l’Assemblée Nationale et dans nos conseils régionaux, les élus du RN réaffirment leur détermination à engager un moratoire sur tout projet éolien et le démantèlement des parcs à commencer par les plus anciens. Non aux éoliennes !

[1] Chacune dotée d’un mât de 108 mètres de haut et de flotteurs lourds de 3 500 tonnes

[2] Saint-Nazaire mis en exercice l’an dernier ; Saint-Brieuc, Fécamp et Courseulles-sur-Mer en cours de construction.

L’ALLEMAGNE VEUT À NOUVEAU IMPOSER L’AUSTÉRITÉ EN EUROPE

COMMUNIQUÉ DE FRANCE JAMET

Alors que la crise du Covid-19 et le conflit russo-ukrainien ont démontré le caractère totalement obsolète des règles budgétaires communes dans la zone euro, l’Allemagne a décidé, une fois de plus, d’imposer l’austérité en Europe.

Les négociations entamées à Bruxelles pour une réforme du cadre budgétaire commun voient s’opposer les intérêts toujours plus divergents entre les partisans d’une application dogmatique des critères Maastrichtiens et ceux qui demandent un assouplissement.

L’Allemagne a ainsi exprimé son refus clair et net d’une possibilité pour les divers États d’avoir une trajectoire individuelle de retour vers des finances publiques saines, et met en avant l’idée que chaque pays doit diminuer sa dette publique de 0.5 à 1 point de PIB par an.

Cette idée d’une trajectoire unique appliquée à 27 États, 27 économies, 27 budgets avec leurs spécificités et leurs contraintes différentes est absurde. Elle conduira immanquablement à une récession économique qui entraîne, à l’inverse du but recherché, des hausses de dettes publiques.

La nécessité de recouvrer des finances publiques bien gérées ne sera pas satisfaite par des arrangements comptables, mais par le retour de la prospérité économique qui a été sacrifiée sur l’autel des dogmes mondialistes promus par l’UE avec lesquels il est grand temps de rompre si nous voulons léguer autre chose que des dettes aux générations futures.